7 avril 2009 2 07 /04 /avril /2009 20:59

Internationalnews

 

18379162.jpg-r_160_214-b_1_CFD7E1-f_jpg-q_x-20040503_065021.jpg

 

Super Size Me (Grossissez-moi !)  est un film documentaire américain sur les effets néfastes des fast-food sur la santé (obésité, maladies cardio-vasculaires...).

 
"Quels effets peut produire un mois de régime 100 % McDonald's ? Un pamphlet horriblement efficace, qui a fait le tour du monde - comme MCDo.

En 2002, deux adolescentes de New York intentent une action en justice contre McDonald's, qu'elles accusent de les avoir rendues obèses. La plus grande marque de fast-food américaine rétorque que ses produits sont "sains et nourrissants", décidant Morgan Spurlock à la prendre au mot. Il veut comprendre, dit-il, comment 60 % des adultes américains sont devenus gros. Sous la surveillance de plusieurs médecins et d'une nutritionniste, il entreprend un régime d'un mois 100 % McDo, au grand dam de sa petite amie végétalienne. Règles du jeu : aucune dépense physique au-delà des "cinq mille pas par jour" effectués par l'Américain moyen ; trois repas quotidiens, en goûtant à tout ce qu'il y a sur la carte ; et le choix systématique, si on le lui propose, du menu "Super Size" - ou "Méga Géant", la taille maximale, avec 250 grammes de frites et plus de 1 litre de soda !" (présentation d'Arte).

 

 In English Full Lenght: "Super size me", a film by morgan spurlock (1h40)

 

Trailer:

Voir le film supprimée de youtube ici:

http://vimeo.com/93003791


1

Partager cet article
Repost0
1 avril 2009 3 01 /04 /avril /2009 22:50

http://www.cbc.ca/marketplace/pre-2007/files/food/supermarket/gfx/titlephoto.jpg

How and what we eat has radically changed over the past few decades with the all-consuming rise of the supermarket. But what price are we paying for the homogenised, cheap and convenient food that supermarkets specialise in? In a two-part programme, journalist Jane Moore investigates how supermarkets have affected the food on our plates and reveals the tell-tale signs that the food we buy may not have been grown in the way we think.

Using a combination of undercover filming and scientific analysis, Supermarket Secrets investigates whether the food on supermarket shelves is really as good as it looks, whether prices are as good as they seem and what happens behind the scenes in the production of supermarket food.

This documentry is in two parts. The first part deals with Factory Farming, chickens, and general quality of supermarket food. This second part deals with Cows milk, food standards, food waste, pesticides, food globalization, and loss of quality of our produce.

A very important watch for everyone, gives you facts about the meat and food you eat. After watching you will have more of an understanding of the rational behind Vegetarian, Vegan, Organic, and grass-root eating practices.  www.channel4.com

Part I  48 mn 55 s - 17 mars 2006

part II 49 mn 3 s - 17 mars 2006

http://www.internationalnews.fr/article-29881369.html
Partager cet article
Repost0
27 mars 2009 5 27 /03 /mars /2009 08:34
Criminologists have long recognized that premeditated, sadistic treatment of animals is a strong predictor of criminal and homicidal violence...
Durée : 14:2 08 août 2008
Partager cet article
Repost0
25 mars 2009 3 25 /03 /mars /2009 20:48

A film by Jeffrey M. Smith.

Dairy products from cows treated with Monsanto's genetically engineered bovine growth hormone (rBGH or rBST) may sharply increase cancer risk and other diseases, especially in children. Already banned in most industrialized nations, it was approved in the US on the backs of fired whistleblowers, manipulated research, and a corporate takeover at the FDA. This must-see film includes footage prepared for a Fox TV station—canceled after a letter from Monsanto's attorney threatened "dire consequences."



Partager cet article
Repost0
20 mars 2009 5 20 /03 /mars /2009 00:18

La semaine sans pesticides est organisée du 20 au 31 mars par l’Action Citoyenne pour les Alternatives aux Pesticides. Elle veut sensibiliser le grand public aux alternatives à ces produits dont elle rappelle les dangers.


Les gouttes d’eau produites par les plants de maïs dont les graines ont été traitées aux insecticides peuvent tuer les abeilles en quelques minutes, d’après ce que démontrent des recherches menées à l’Université de Padoue, en Italie.





Source: quotidiendurable.om


Jusqu’alors l’impact des pesticides sur les abeilles n’avait été évalué que lors des semailles de maïs et par la contamination du pollen et du nectar. Suite à différentes études,
l’Allemagne, contrairement à la France, interdisait l’utilisation de l’insecticide Cruiser après une surmortalité des abeilles observée dans le Bad-Württemberg.

En France, ce sont le « Gaucho » et le « Régent », des produits d’enrobage des graines de la firme Bayer, qui furent interdits en 2004 pour leur toxicité sur les insectes butineurs. Bien que
l’Afssa dans son dernier rapport sur le sujet ne dénonce pas explicitement le rôle des traitements phytosanitaires dans la disparition des abeilles, il semble difficile aujourd’hui de nier leurs effets délétères. Le pire étant que ces effets sont peut être plus larges que ce que l’on pensait. Pour le professeur Vincenzo Girolami, « les gouttes d’eau issues du phénomène de « guttation »(1) de plantes provenant de graines de maïs traitées, tuent les abeilles en l’espace de quelques minutes si celles-ci utilisent leur ligule (la langue trompe des abeilles, NDLR) ». Sa collègue chimiste, Andrea Tapparo, a montré, en analysant les gouttes issues de la « transpiration » des feuilles, qu’elles pouvaient contenir des néonicotinoïdes (substances utilisées dans le traitement des graines) à des concentrations 10 000 fois supérieures à la dose létale pour les abeilles.

Les gouttelettes qui reposent à la surface des feuilles sont parmi les sources d’eau préférées des abeilles, elles risquent ainsi un empoissonnement direct, et pour les apiculteurs italiens, le problème ne se résoudra pas par la simple amélioration des semoirs ou des techniques de traitement.

Elisabeth Leciak

1- En apparence, la guttation ressemble à de la rosée. C'est un phénomène proche de la transpiration que certaines plantes, comme le maïs, mettent en œuvre pour évacuer le surplus de pression racinaire qui peut apparaître au cours de la nuit, notamment dans les sols où le taux d'humidité du sol est important. Il se traduit par une forme de suintement d'eau aux niveaux des stomates (les pores des feuilles), qui se condense pour former des gouttelettes sur les feuilles.

http://www.univers-nature.com/inf/inf_actualite1.cgi?id=3634
Partager cet article
Repost0
12 mars 2009 4 12 /03 /mars /2009 15:11

THEME ABORDES :

  • Recommandation scientifique d'instance internationale non respectée
  • 56000 tonnes de thon rouge pêchés au lieu de 30000 tonnes autorisés
  • "Stocks" reproducteurs atteints
  • Subventions européennes
  • Haute technicité utilisée (radars, satellites, puissance des navires, etc.), ce qui a pour effet de pêcher toujours plus loin, plus.
  • Cage d'engrossissement
  • ABERRATION des fermes d'élevage (obtenir 1 kg de poissons d'élevage nécessite l'emploi de 2 à 6 kilos de poissons pêchés !)
  • Japon, principal receleur ET POURTANT leur paradoxe : une solution à généraliser !

Ce sont au total chaque année, dans le monde entier, de l’ordre de 100 millions de tonnes de « produits de la mer » qui sont pêchés : les chiffres en effet ne se soucient généralement pas d’établir une différentiation entre les quelques 86% de poissons et les 9% de mollusques et 5% de crustacés. Sur environ 25 000 espèces de poissons, environ 9 000 sont régulièrement attrapées, plus de 7000 sont commercialisées à des fins alimentaires. Sur 85 millions de tonnes de poissons pêchés par an, 27 étaient rejetées à la mer (11% seulement survivraient) et 29 sont transformés en farine, essentiellement pour l’alimentation animale.


"On sera embêté quand il n'y aura plus de production... ce sera vraiment triste."
"Il n'y a plus de morue, de merlu alors pêchons d'autres espèces... l'empereur par exemple, poisson de grandes profondeurs."
"En Irlande : 38 tonnes pêchés en un coup de filet."


Depuis 1975, le nombre de thons rouges du golfe du Mexique a diminué de 85% (leur taille moyenne est passée de 21 kg en 1969 à 11 kg actuellement), ceux de la Méditerranée, de 50 %.

Actuellement moins de 0,001 % de la surface des océans est protégée de la pêche, et encore, sous forme morcelée.
70% des 200 espèces de poissons les plus recherchées sont menacées. On aurait pu espérer que si les "stocks" déclinent, de moins en moins de poissons seraient capturés et tués ; ce n'est pas le cas, puisque ce sont de plus en plus surtout des poissons de petite taille qui sont raflés.
Nul autre massacre sur notre planète ne peut être comparé, par le nombre de ses victimes, à celui-ci !

A 5 ou 10 ans prêts, l'extinction de diverses espèces (supplémentaires) : thons rouges, cabillauds (morues), daurades, soles, anchois, saumons, requins, baleines, ETC. (sans parler de la mort non intentionnelle de plus d'1 millions de mammifères, tortues et oiseaux chaque années, pris dans les filets de pêche (qui descendent tels des rideaux dans la mer) et par effet boule de neige... des conséquences incalculables...
de la-dite "migration des peuples" jusqu'à la désertification des océans !

Au-delà du stock de poisson, c'est l'écosystème océanique (donc de la Terre également) qui sera irrémédiablement déréglé, la prolifération des méduses et des algues, la disparition du pancton - qui participe à 80% à emmagasiner le CO2 (20% pour les forêts).




LES FERMES D'ELEVAGE (présentées à tort comme solution) :
Ces élevages pratiquent l'entassement maximal, et la promiscuité engendre frustration, stress, agressivité (morsures et blessures), et maladies. Les fermes peuvent regrouper entre 50 000 et 500 000 poissons.


Il faut imaginer l'équivalent de 6 à 8 gros saumons (par exemple) de 3 kilos passant leur vie dans un espace d'un mètre cube (ou bien un poisson de 60 cm évoluant dans une baignoire), alors que, libres, ils migreraient par milliers de kilomètres des rivières où ils sont éclos jusqu'à l'océan...


Les truites sont encore plus concentrées, souvent dans des citernes, à des densités de 30 à 60 kg/m3, soit au pire l'équivalent de 27 truites d'une taille de 30 cm dans une baignoire !


Comme pour tout élevage intensif, celui-ci conduit à de grosses probabilités de maladies. Le stress s’associe à des septicémies, s’ajoute à des infections de la peau ou des maladies, pendant que l'entassement peut causer des maladies bactériennes ou bien des nécroses pancréatiques infectieuses.


L'accroissement prévu des tailles des cages (aussi saturées) devrait encore augmenter les risques. Les affections bactériennes ou virales peuvent en outre contaminer également les populations sauvages. Les poissons et les cages sont désinfectés à l’aide de produits très agressifs comme le chlore, les affections sont contrôlées grâce entre autre au formol (!) et des antibiotiques.



Avant l’abattage, les poissons sont forcés de jeûner plusieurs jours, jusqu’à parfois plus du trois semaines selon les espèces), il s'agit soit d'éliminer une partie du surplus de graisse ainsi que des antibiotiques, soit tout simplement d'économiser la nourriture durant le laps de temps pendant lequel ils ne perdent pas encore de poids.




Des quotas des captures sont également imposés sur les espèces commerciales, dans l’espoir de permettre aux « stocks » de se renouveler. Dès lors que les quotas sont atteints, la loi impose que tous les poissons de l’espèces concernée soient rejetés. Comme souvent les quotas d’autres espèces ne sont pas simultanément remplis, la pêche continue, et les poissons des espèces « over quota » retournent directement des filets à la mer, morts ou grièvement blessés. Ce phénomène est aggravé encore par la logique marchande : comme certaines tailles ou qualités de « poisson » se négocient plus cher sur le marché, il est fréquent que des pêcheurs rejettent une partie de leurs prises à la mer pour continuer les captures jusqu’à ce qu’ils aient « engrangé le stock optimal », qui leur rapportera le maximum d’argent.



http://savage147.free.fr


La pêche en mer perd 50 milliards de dollars par an

http://www.internationalnews.fr/article-surpeche-documentaire--28587881.html




Partager cet article
Repost0
27 février 2009 5 27 /02 /février /2009 18:36
Criminologists have long recognized that premeditated, sadistic treatment of animals is a strong predictor of criminal and homicidal violence...
Partager cet article
Repost0
27 février 2009 5 27 /02 /février /2009 08:23
Depuis plus de dix ans, un chercheur de l'Inserm alerte les pouvoirs publics sur les dangers du sel caché dans nos aliments industriels. A Bakchich.info, il raconte comment l’industrie du sel a essayé de l’empêcher de parler.

Partager cet article
Repost0
20 février 2009 5 20 /02 /février /2009 11:00

Pollution causée
par la consommation
de viande

 


Eau requise en gallons pour produire 1 livre de boeuf: 5214







La vie sur la terre a commencé avec l’eau et elle en a toujours été dépendante pour son existence. Avec l’eau, la vie peut fleurir, les déserts peuvent être transformés en jardins. Sans eau, nous mourons. Par contre, chacun de nous est tellement habitué d’avoir cette précieuse ressource à sa portée que nous la prenons pour acquise. Malheureusement, nous approchons rapidement du jour où nous serons forcés d’apprendre par la manière forte, la valeur inestimable de ce trésor naturel. Notre réserve d’eau potable diminue à une vitesse alarmante.


En 2000, il a été prédit que l’augmentation de la quantité d’eau utilisée dans le futur causée par l’augmentation de la population imposera un stress intolérable sur l’environnement, nous dirigeant non seulement vers une perte de la biodiversité mais également vers un cercle vicieux dans lequel le stress sur l’écosystème ne pourra plus fournir les « services » nécessaires pour les plantes et les humains.


Partout où l’on regarde aujourd’hui, les gens conservent l’eau. On voit des gens qui lavent leur voiture moins souvent, installent des pommes de douches et des accessoires de robinets réduisant le débit et la consommation d’eau, etc. Fermer le robinet lorsqu’on se brosse les dents, excepté pour rincer la brosse et le rasoir lorsqu’on se rase.

Toutes ces prudentes manœuvres sont bénéfiques, mais même toutes combinées, elles ne peuvent rivaliser avec l’économie d’eau que l’on obtiendrait en dirigeant notre alimentation vers une diète végétale.


Eau requise en gallons pour produire 1 livre de :


  • Laitue : 23
  • Tomates : 23
  • Patates : 24
  • Blé : 25
  • Carottes : 33
  • Pommes : 49
  • Poulet : 815
  • Porc : 1630
  • Bœuf : 5214

 

1 livre de bœuf selon une association de producteurs de bœuf aux Etats-Unis : 441

Voici une façon de voir les choses : supposons que vous prenez une douche chaque jour et que chacune dure 7 minutes, arrondissons le chiffre à 50 min par semaine; maintenant, supposons que le débit d’eau de votre pomme de douche laisse couler 2 gallons par minute, pour une année, vous utiliserez 5 200 gallons d’eau pour vous laver.
 

Quand on compare 5200 gallons d’eau pour se laver à la quantité d’eau utilisée pour produire 1 lb de bœuf selon des statistiques de spécialistes du sol et de l’eau, on économiserait plus d’eau en ne mangeant pas une livre de bœuf, que de se priver d’une douche pendant 1 an.


Les plus grands consommateurs d’eau, en Californie par exemple, ne sont pas l’industrie du pétrole, ni des produits chimiques, ni de la défense, ni les champs de tomates ou de raisins, ce sont les champs irrigués : l’herbe que l’on fait pousser sur des terrains sablonneux pour les vaches et le bétail. La crise de l’eau et plusieurs des problèmes environnementaux peuvent être résumés ainsi : le bétail.


La raison pour laquelle plus d’eau est nécessaire pour produire une livre de bœuf qu’une livre de porc ou de poulet, est qu’aux Etats-Unis par exemple, les industries de porcs et poulets sont situées dans des régions où les champs ont besoin de peu ou pas d’irrigation, et que les porcs et poulets sont plus efficaces à convertir le grain en viande.


Bien sûr, les éleveurs insistent pour dire que la production de viande n’utilise pas autant d’eau. Mais il est très important que nous ne sous-estimions pas la consommation d’eau au même titre qu’il ne faut pas sous-estimer la quantité de carburant requise pour se rendre à une destination x s’il n’y a pas de station d’essence en chemin. Dans les 2 cas, les répercussions ne se feront sentir qu’à la fin. Il existe des alternatives pour le pétrole comme l’hydrogène, le soleil, le vent et autres ressources, mais il n’y a pas d’alternative pour remplacer l’eau. Si nous en manquons, nous ne pouvons pas faire pousser nos aliments ou maintenir d’autres fonctions essentielles à la vie. Près de la moitié de l’eau consommée aux Etats-Unis est utilisée pour le bétail.


  • 97% de l’eau sur la planète est salée. L’eau salée est toxique pour les organismes terrestres qui ont besoin d’eau non salée pour subsister. De cette eau qui est suffisamment non salée pour être bue, la plupart est retenue dans les glaciers et couches de glace ou est trop profonde dans la terre pour être atteinte. Seulement environ 0.0001% de l’eau fraîche est accessible. Il est donc extrêmement important de la conserver l’eau.

Un changement de diète sans produits animaliers aiderait à ne pas gaspiller l’eau. Ça nous permettrait de conserver cette précieuse ressource. Ce qui signifierait qu’il y aurait plus d’eau pour nos enfants à utiliser pour boire, faire pousser des aliments, cuisiner et nettoyer.


Si nous sommes sérieux dans nos intentions de vouloir laisser à nos enfants et leurs enfants un monde habitable, il faut voir où nous pourrions être les plus efficaces. Il n’y a pas de moyen plus efficace que de changer notre alimentation pour une diète végétale.


(Traduction: Massacre Animal. Sources: The Food Revolution et Diet for a New America).

http://www.massacreanimal.com/fr/pollution_eau.php

Partager cet article
Repost0
18 février 2009 3 18 /02 /février /2009 10:45

L'Indonésie détient le taux de déforestation le plus élevé du monde. Les cultures de palmiers à huile en sont la cause principale.


En France, l'huile de palme se retrouve dans 1 produit sur 10

Pour mettre un terme à la déforestation sauvage, agissons ensemble maintenant en demandant aux entreprises de s'engager contre la déforestation.
Plus d'informations sur
www.protegelaforet.com

Partager cet article
Repost0

Présentation

  • : internationalnews
  • : Un site d'information et de réflexion sur l'actualité internationale, le nouvel ordre mondial, la géostratégie, la propagande, l'impérialisme, le nucléaire, l'économie, l'environnement et la culture, illustré de documentaires. Site géré par des journalistes bénévoles, sans aucune obédience politique, religieuse ou autre.
  • Contact

STOP TAFTA !

Rechercher

Dossiers les plus consultés