A look at forest clearance in Borneo and Sumatra. Tropical rainforest cleared for palm oil monocultures and the new demand for "green energy" - biofuels.
internationalnews
Après l’homo consommatus, serions-nous entrés dans l’ère de l’homo toxicus ? Une enquête-choc, à la première personne, dans le monde des contaminants chimiques qui se retrouvent à notre insu dans notre corps et même dans celui du fœtus ou du nouveau-né par le biais de la paroi utérine ou du lait maternel…
by Michael McCarthy
Environment editor
Source:earthfuture.com
Brazil's attempt to double its share of the global market for beef will carry a heavy environmental cost, report warns.
Scenes like this, with vast tracts of Amazonian rainforest razed to make way for cattle, are to become more common in Brazil as it continues its drive to expand its beef export industry, according to environmentalists.
Green activists say that country's determination to double its share of the world beef market is likely to undermine its new targets for halting Amazon rainforest destruction and reducing carbon emissions.
The South American country has the world's largest cattle herd and is already the biggest beef exporter on the planet. Now the Brazilian government is seeking to boost its share of the world beef market from 30 per cent to 60 per cent in the next decade.
And deforestation will mean, the environment group says, that Brazil will not be able to curb its massive carbon dioxide emissions – 75 per cent of them coming from deforestation. It is already the planet's fourth-biggest greenhouse gas emitter after China, the United States and Indonesia. This is despite the fact that in December last year the Brazilian government introduced targets for reducing deforestation by 72 per cent by 2017, as a part of a national climate-change action plan.
Although it has long been known that cattle ranching, which has been expanding continuously since the early 1970s, has been a principaldriver of rainforest destruction in Brazil, the Greenpeace study, entitled "Amazon Cattle Footprint", is thought to be the first detailed assessment of the scale of its impact.
Source: learnaboutbutterflies.com
The report uses innovative satellite-mapping techniques to expose direct links between new cattle farms and forest destruction in one of the largest Amazon states, Mato Grosso. One map, for example, reveals the location of industrial-sized slaughterhouses within the state, and shows how they have become the epicentres of major forest destruction as land is cleared to make way for pasture.
Between 1996 and 2006, the report says, the area of pastures in the Amazon grew by approximately 10 million hectares – an area the size of Portugal – to accommodate a vast expansion of the Brazilian cattle herd, which now numbers about 65 million animals.
It adds that according to Brazilian government data, in 2006 there were three head of cattle in the Amazon for every human inhabitant. Just under 80 per cent of the deforested Amazon is now used for cattle grazing.
"The Brazilian government needs to get a grip on the cattle industry before it completely undermines the country's chances of tackling climate change," said Sarah Shoraka, Greenpeace's forests campaigner. "Right now, huge swathes of rainforest are being cut down to feed the global appetite for beef and leather. As these new maps show, there's a clear link between the location of new cattle ranches and the destruction of the Amazon rainforest.
"Stopping this expansion offers the best chance of fighting climate change in Brazil, but we need the government to step in before it's too late."
The Amazon basin holds the largest tropical forest in the world, and is the most diverse ecosystem on Earth, playing a vital role in ensuring the region's water supplies, regulating rainfall, and keeping the world'sclimate in balance.
Source: static.howstuffworks.com
Continued cattle expansion will also have devastating impacts on the Amazon's unique ecosystem and could displace millions of indigenous people, the Greenpeace report says.
In 2006 another major driver of deforestation, soya bean cultivation, has been partly curbed: after pressure from environmentalists, soya growers agreed to a moratorium on growing on newly deforested land. It is likely that the Brazilian cattle industry will now come under similar pressure.
Source: graphics8.nytimes.com
Luis Felipe Carvalho, the secondsecretary at the Brazilian embassy in London, said last night that Brazil did not believe that doubling cattle production would undermine its target to reduce deforestation. It was hoped to use intensive farming techniques to produce more cattle in future from a smaller area of land. "Doubling the cattle industry does not necessarilyuses. We hope to increase productivity, not just the size of the area farmed," he said
http://www.independent.co.uk/environment/climate-change
Les vaches produisent du lait pour la même raison que les femmes : pour nourrir leur petit, avec qui elles ont un lien très fort. Mais un à trois jours après sa naissance, celui-ci leur est arraché, ce qui les plonge dans un profond désarroi. Trois mois plus tard, alors qu'elles sont encore en lactation, elles sont à nouveau inséminées et devront bientôt revivre ce scénario traumatisant.
Un tiers souffre de mastites (inflammations des mamelles) dues à la surproduction de lait.
Rapidement épuisées par un tel traitement, les vaches laitières sont tuées vers l'âge de cinq ans, alors qu'elles pourraient atteindre une vingtaine d'années. Elles sont souvent pleines quand elles sont abattues. La viande obtenue est transformée en steaks hachés.
Consommer du lait, c’est soutenir le commerce des veaux !
En France, les veaux sont élevés dans des boxes de contention individuels.
Privés de leur mère, de contacts avec leurs congénères, de paille sur laquelle se coucher, d'herbe à manger et même du moindre exercice, les veaux sont tellement à l'étroit qu'ils ne peuvent plus se retourner dès qu'ils atteignent deux semaines.
Anémiés par une alimentation déficiente en fer et en fibres alimentaires de façon à obtenir une chair bien blanche, même si la législation européenne empêche de descendre en-dessous de certains seuils, ils souffrent de diarrhées et de pneumonies et sont maintenus en vie au moyen de tranquillisants et d'antibiotiques.
Au bout de cinq ou six mois sans mouvement et sans lumière, ils voient la lumière du jour pour la première fois en partant à l'abattoir.
L’abattoir. Cris, bousculades, chutes et odeurs : tout concourt à en faire un lieu de stress intense et de terreur. Mais malheureusement, pour certains, la torture n’est toujours pas terminée. Tous les jours, des animaux qui n’ont pas été étourdis correctement sont découpés encore conscients ou écorchés vifs.
Reportage de France 3
Les OGM ont déjà envahi l'alimentation animale. Les produits animaux (viande, lait, oeuf, etc.) ne donnent aucune indication sur leur teneur en OGM, et les produits non BIO en contiennent désormais tous.
"La grandeur d'une nation et ses progrès en matière morale peuvent être jugés par la façon dont ses animaux sont traités "
Mohandas Gandhi
L'acteur et militant Alec Baldwin dévoile la face cachée de l'élevage industriel.
RTBF
L'ex- rapporteur de l'ONU pour le droit à l'alimentation Jean Ziegler ne mâche pas ses mots. Un enfant qui meurt de faim aujourd'hui est assassiné, dit-il. La faim dans le monde est un crime contre l'humanité. Et il accuse les pays riches. Ils n'ont pas débloqué les fonds nécessaires alors que des milliers de dollars ont été brûlés dans la crise financière. Jean Ziegler s'élève également contre le développement des biocarburants et la spéculation sur les denrées de base.
La patron de l’organisation des Nations-Unies pour l’alimentation et l’agriculture, Jacques Diouf, est sur la même longueur d'ondes. 100 millions de tonnes de céréales ont servi à fabriquer des biocarburants, dit-il, 100 millions de tonnes qui auraient pu nourrir des milliers d'individus. Il dénonce lui aussi la spéculation et le manque de moyens réservés à l'agriculture.
Pour la FAO, il faudrait au moins 30 milliards de dollars par an pour assurer la sécurité alimentaire et relancer le secteur agricole dans les pays les plus touchés.
Selon le Belge Olivier De Schutter, rapporteur de l’ONU pour le droit à l’alimentation, les brutales hausses de prix alimentaires en 2007 et au début de 2008 ont laissé des traces sérieuses parmi les familles les plus pauvres, même si les prix ont baissé depuis juin. "La violation quotidienne et massive du droit à l'alimentation a son origine, non pas dans une production insuffisante de nourriture, mais dans un système de production dont les limites sont désormais claires. Un nouveau système doit être mis en place, bâti sur les ruines de l'ancien", a-t-il estimé.
A Londres, l'organisation humanitaire Oxfam a affirmé que l'inflation galopante du prix des aliments de base, comme le riz et les céréales, a poussé cette année 119 millions de personnes de plus dans une situation de famine.
Aujourd'hui, 89% des personnes qui ont faim vivent en Asie et en Afrique. Dans quinze pays africains, la faim touche plus de 35% de la population.
J.C. (avec C. Pecheux et Belga)
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