Un état des lieux de cette mégapole de 36 millions d'habitants, dix-sept mois après la catastrophe nucléaire de Fukushima. Des poissons au césium à la pollution tous azimuts, le bilan dressé par les habitants de Tokyo (poissonniers, éboueurs, employés du service des eaux) est accablant.
Documentaire avec Jacob Cohen Nouvel Ordre Mondial israel juif illuminati palestine Gilad Atzmon, Javad Shamagdari, Manuel Galliana, Samba Diagne, Rabbi Weiss, Rabbi Cohen, Dany Schechter, Claudio Moffa, Yahya Barakat, Webster Tarpley, Rachid Ben Aissa, Bernard Henri Lévy, Shlomo Sand, Miko Peled, Jacques Attali, Wesley Clark, Jonathan Shapira, Emmanuel Valls, Eric Raoult, Barack Obama, Zbigniew Brzezinski, Thierry Meyssan, Alain Soral.
En retraçant chronologiquement chacun des évènements qui a conduit au désastre - le tremblement de terre, puis, une heure après, le tsunami qui entraîne une première panne de courant, puis la deuxième panne qui paralyse le système de refroidissement du réacteur, causant la fonte de celui-ci et l'explosion d'hydrogène -, le film soulève d'importantes questions techniques. Comment et pourquoi, après le tsunami, une panne complète de courant a-t-elle pu se produire au sein du réacteur de Fukushima ? Dans quelle mesure les travailleurs de la centrale ont-ils été informés des dommages causés aux installations ? Étaient-ils vraiment préparés à faire face à une telle situation ? La décision des responsables de la centrale de lâcher de la vapeur radioactive dans l'atmosphère était-elle inéluctable ?
Pour réponde à ces questions, NHK a recueilli les témoignages des ingénieurs de la centrale qui étaient présents dans la salle de contrôle au moment de l'accident. Grâce à ces interviews et à des scènes reconstituées, le documentaire révèle un système de sécurité défaillant, le manque de préparation des équipes et, surtout, la vulnérabilité des réacteurs nucléaires.
Ce documentaire décrit la guerre psychologique menée par les médias principaux pour faciliter le renversement du gouvernement syrien selon l'agenda occidental. Il montre comment les médias ont contribué directement à l'effusion de sang en Syrie.
Il dé-construit les principales allégations présentées par ces acteurs, à savoir que le gouvernement syrien aurait systématiquement réprimé des manifestations pacifiques perdant ainsi sa légitimité. Il montre comment de telles allégations ne sont donc que de la propagande destinés à servir les intérêts de la politique étrangère de leur pays.
Ce documentaire comprend : -la preuve de faux rapports diffusés / publiés par CNN, BBC, Al Jazeera et d'autres ; -des entretiens avec un échantillon de la population syrienne : un acteur, un artisan, un journaliste, un résident de Homs et un militant qui ont tous été touchés par la crise.
Produit par les journalistes Lizzie Phelan et Mostafa Afzalzadeh. Monté par Lizzie Phelan. Publié le 26 mai 2013
Documentaireréalisé en 1975 – deux ans après le coup d’état au Chili – « La Spirale » est un documentaire inégalé dans l’analyse des techniques de déstabilisation utilisées contre le gouvernement d’Allende. Organisé en sept chapitres, le documentaire expose l’increscendo du plan destiné à anéantir, par tous les moyens, le projet de socialisme démocratique, sans tomber dans des simplifications, il traite, entre autre, du boycott économique, de l’utilisation des syndicats corporatifs, de la grève des camionneurs et de la préparation de l’armée.
Réalisé par : Armand Mattelart Jacqueline Meppiel Valérie Mayoux
Produit par : Jacques Perrin Reggane Films Seuil audiovisuel Année : 1975
La Spirale es un riguroso y apasionante documental político de 140 minutos que expone los mecanismos del plan destinado a destruir, por todos los medios, el proyecto de socialismo democrático. El documental fue realizado por el sociólogo belga Armand Mattelart, quien, en 1962, es contratado por el departamento de sociología de la Universidad de Chile de Valparaíso.
Immerger des fûts de matières irradiées en pleine mer semble aujourd'hui scandaleux, mais cette technique a été par le passé considérée comme une forme de stockage scientifiquement justifiée : la radioactivité des déchets déposés à plus de 4 500 mètres de profondeur était censée s'éliminer par dilution. Il est désormais admis qu'elle ne fait que se répandre de manière incontrôlée.
Dans quel état sont aujourd'hui ces barils, dont même les autorités ne connaissent pas la localisation exacte.
Pays : Allemagne Date de sortie : 2013 - Durée : 52 mn
Après s’être intéressée, avec Brigitte Rossigneux déjà, à l’industrie pharmaceutique (Les Médicamenteurs), puis avoir enquêté sur l’omniprésence des substances chimiques dans notre environnement (La Grande Invasion), la documentariste Stéphane Horel se penche sur le contenu de nos assiettes. Diffusé en juin 2012 sur France 5
« L’offre alimentaire proposée en France est extrêmement transformée par rapport aux aliments de base, avec pertes de minéraux, de vitamines… et ajout de sucres, de sel, de graisses…» , Pierre Meneton, chargé de recherche à l’Inserm (Institut national de la santé et de la recherche médicale).
« On a vécu dans les années 1980-2000 ce que tous les pays occidentaux ont vécu : une augmentation très importante du surpoids et de l’obésité chez l’enfant et chez l’adulte, avec des chiffres extrêmement impressionnants », rappelle Serge Hercberg, directeur du Programme national nutrition santé (PNNS) mis en place dans un souci de santé publique par le gouvernement de Lionel Jospin en 2001.
Pointée du doigt, la responsabilité des industriels de l’agroalimentaire, qui mettent sur nos tables plus de 500 000 produits différents.
« L’offre alimentaire proposée en France est extrêmement transformée par rapport aux aliments de base, avec pertes de minéraux, de vitamines et de tout un tas de nutriments nécessaires à la bonne santé de l’organisme, relève Pierre Meneton, chargé de recherche à l’Inserm (Institut national de la santé et de la recherche médicale). L’autre conséquence de cette transformation est l’ajout de produits en quantité plus ou moins importante : des sucres, du sel, des graisses, des colorants, des conservateurs. »
Un secteur qui pèse de tout son poids…
Très impliquée auprès des pouvoirs publics et des élus, l’Ania (Association nationale des industries alimentaires) veille activement aux intérêts d’un secteur qui emploie en France 400 000 personnes, compte 10 000 entreprises et pèse 134 milliards d’euros. En 2008, alors ministre de la Santé, Roselyne Bachelot a pu mesurer l’efficacité de son lobbying. A l’initiative d’un projet de dispositif réglementaire visant à encadrer la publicité dans les programmes télé destinés aux enfants, son ministère en a été dessaisi au profit du ministère de la Culture.
« La publicité pour les produits trop gras, trop salés ou trop sucrés représente en général 23 % du budget d’une chaîne », justifie Christine Kelly, membre du Conseil supérieur de l’audiovisuel. En s’engageant dans le cadre du volontariat sur une charte commune placée sous le contrôle du CSA, industriels, publicitaires et chaînes ont pu préserver ensemble leurs équilibres économiques respectifs : « L’objectif de cette charte d’engagement, analyse Olivier Andrault, chef de mission alimentation et nutrition à l’UFC-Que choisir, était d’éviter la mise en place d’une loi, d’une réglementation, de quelque chose d’obligatoire. »
Pas de risques, ainsi, que nutritionnistes et pédiatres se mêlent de définir le taux maximal de sucre, de gras ou de sel autorisé dans les produits, voire qu’ils puissent dresser la liste de ceux que l’on pourrait promouvoir ou non sur les antennes. A l’échelle européenne, c’est la mise en place d’un étiquetage présentant une meilleure lisibilité qui a été rejetée en mars 2010 par la commission parlementaire en charge de la question. « Le consommateur est dépossédé de toute connaissance, de tout contrôle sur l’environnement qui est le sien, regrette Pierre Meneton. On lui met dans l’assiette un certain nombre de choses : il ne sait pas comment elles sont fabriquées, il ne sait pas ce qu’elles contiennent, il ne sait pas les conséquences qu’elles peuvent avoir sur sa santé… et puis… il mange. »
Christine Guillemeau
Documentaire Durée 52’ Auteures Stéphane Horel et Brigitte Rossigneux Réalisation Stéphane Horel Production Beau Comme une Image, avec la participation de France Télévisions et Public Sénat Année 2012
Nelson Mandela, premier chef d'Etat sud-africain de l'après-apartheid, est devenu l'emblème de l'engagement politique de tout un peuple contre la tyrannie et le racisme. Comment, né pauvre en 1918, devint-il l'un des hommes les plus écoutés de la planète ? D'où lui vient cette noblesse que rien ne semble pouvoir affaiblir ? La non-violence est-elle l'arme absolue pour lutter contre l'injustice ? Face aux caméras, il révèle le jugement qu'il porte aujourd'hui sur son engagement inflexible. Pour tous les passionnés d'Histoire, c'est l'occasion de mieux comprendre le parcours de cet homme exceptionnel, et son engagement pour l'Afrique du Sud. Sur un commentaire de Feodor Atkine. Publiée le 30 mai 2013
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