Dictature monarchique absolutiste rétrograde, pays de la charia, de la torture systématique des opposants, de la corruption généralisée, des assassinats ciblés, de l'esclavage des travailleurs immigrés, de la persécution des Chétiens, et base du terrorisme international d'Al Quaïda.
Pays allié des puissances occidentales, et en premier lieu des Etats-Unis et de la France qui ne cessent d'en faire les éloges et l'utilisent pour détruire les pays arabes laïcs (Libye, Syie...) au prétexte de "guerres humanitaires".
Les journalistes ne peuvant avoir de visa pour l’Arabie Saoudite, une journalise s’est fait passer pour une touriste afin d'être en mesure d'y mener son enquëte.
Titre original: L'autre visage de l'Arabie Saoudite (2003)
"Des agneaux à deux têtes en Sardaigne, des leucémies inquiétantes près de Bourges en France, les riverains des champs de tirs militaires seraient les autres victimes indirectes des guerres en préparation.
Chaque année des milliers d’armes de guerre sont testées sur des zones militaires en Europe. Près de Bourges dans le Cher, l’armée française a ainsi fait exploser des milliers d’obus à l’uranium appauvri. En Sardaigne, des dizaines de milliers de missiles ont été lancés, à l’air libre, par les armées de l’Otan et les industriels de l’armement.
Si en France l’armée reste la grande muette et refuse d’informer les populations, en Italie, le scandale est en train d’éclater. Un procureur de Sardaigne a ouvert deux enquêtes pour comprendre le taux anormal de cancers chez les bergers et élucider le mystère d’un grand nombre de malformations chez les animaux mais aussi chez les habitants de la région. Dans le collimateur du juge, les composants des armements comme l’uranium appauvri, le thorium contenu dans le missile franco-allemand Milan et les microparticules, diffusées dans la nature.
Et si les armes dites "conventionnelles" étaient avant tout des armes sales, des bombes à retardement pour les civils résidant à proximité des champs de tir militaires ?"
Une enquête exclusive de Sophie Le Gall, Pascale Pascariello et Linda Bendali
Avec les PR Chris Busby, Doug Rokke, Dai Williams et Francis Boyle.
"Shake and Bake" (secouer et cuire). C’est le nom donné à l’opération militaire de la bataille de Fallujah, ville irakienne dont les Américains peinèrent à prendre le contrôle en novembre 2004. Les combats firent 3.500 victimes civiles. Depuis, les malformations à la naissance se sont multipliées, affectant un bébé sur cinq.
Feurat Alani, un journaliste dont les parents sont originaires de la ville, a pu pénétrer dans l’agglomération toujours sous contrôle américain. Dans Les Enfants sacrifiés de Fallujah, il a enquêté pour Spécial Investigation, relevant les témoignages des habitants et des médecins, puis les confrontant avec ceux d’ex-militaires américains ou l’avis d’experts. Les États-Unis ont utilisé des armes de destruction massive (à l'uranium appauvri, au phosphore blanc et des bombes thermobariques). Documentaire réalisé par Feurat Alani en 2011.
Film sur les Frères Morvan, trois frères paysans des Côtes d'Armor qui se sont constitués en un groupe de chanteurs traditionnels en 1958 (Ar Vreudeur Morvan), diffusé dans l'émission Red an Amzer, le dimanche 22 mai 2011 sur FR3 Bretagne. François Morvan, l'aîné des Breuder Morvan est décédé, le 19 mai 2012, à l'âge de 89 ans (suite).
« Exploiter fraternellement et le plus profitablement possible les ressources pétrolières mondiales », c'est la proposition faite à ses pairs en 1928 par Henri Deterding, cofondateur de la Royal Dutch Oil.
Une plongée dans les arcanes de l’univers pétrolier. C’est ce que propose Fabrice d’Almeida dans La Case du siècle avec quatre documentaires qui retracent la véritable et impitoyable histoire de l’or noir. Intitulé Tempêtes et fortunes du désert, le premier épisode plante le décor au Moyen-Orient.
Depuis presque un siècle, elles font et défont des gouvernements, influencent les relations entre des Etats ou nourrissent des conflits au gré de leurs intérêts. Elles, ce sont les toutes-puissantes compagnies pétrolières. Une poignée de sociétés qui, un jour, se sont arrogé le droit de se partager le monde ! Et leur arrogance va se révéler très profitable…
L’histoire commence un soir d’août 1928, en Ecosse, au château d’Achnacarry, où sont réunis les hommes forts de l’industrie pétrolière de l’époque. Le Néerlandais Henri Deterding, cofondateur de la Royal Dutch Oil, propose alors aux autres convives « d’exploiter fraternellement et le plus profitablement possible les ressources pétrolières mondiales ». Zones d’exploitation, prix du transport et de vente… tout est débattu et distribué équitablement. Au petit matin, le pacte est scellé et le nouveau cartel, prêt à dominer le marché planétaire. D’autres compagnies vont bientôt rejoindre ce complot de milliardaires. Exxon, Shell, BP, Mobil, Chevron, Gulf et Texaco forment par la suite le groupe connu sous le nom des Sept Sœurs. Etabli dans le plus grand secret, l’accord informel de 1928 qui les lie ne tient aucun cas des pays consommateurs de pétrole, et encore moins des pays producteurs. Il faudra attendre le début des années 1950 pour que le voile commence enfin à se lever…
Entente et opacité
Mais, pour l’heure, avec l’aide de l’Arménien Calouste Gulbenkian, un intermédiaire de génie, les Sept Sœurs s’attribuent les réserves du Moyen-Orient. Actionnaires à parts égales, elles obtiennent, par l’Accord de la ligne rouge qui épouse les contours de l’ancien Empire ottoman de 1919, des contrats de concession leur permettant d’avoir la mainmise sur la quasi-totalité du territoire. Partout, les compagnies s’imposent, devenant de véritables Etats dans chaque Etat. Dans les années 1930, les Américains obtiennent du tout nouveau roi d’Arabie saoudite, Ibn Séoud, le droit d’exploitation de la péninsule. Le monarque exige en contrepartie protection pour son pays et une partie des bénéfices. Aramco — un consortium regroupant Exxon, Chevron, Mobil et Texaco — est créé. Les gisements du désert vont se révéler extraordinaires et faire la richesse du royaume. Mais, à l’époque, Aramco est encore libre d’exploiter le pétrole comme il l’entend et de fixer le prix de vente. Selon cheikh Zaki Yamani, ancien ministre du Pétrole (1962-1986), « l’Arabie n’avait aucun pouvoir hormis celui de tendre la main pour recevoir l’argent que les compagnies voulaient bien lui donner ». Une situation qui perdure ailleurs dans d’autres pays.
Le temps de la révolte
Mais trop, c’est trop. En 1951, en Iran, le refus de la BP (British Petroleum) de satisfaire des revendications salariales déclenche une grève qui paralyse le grand terminal pétrolier d’Abadan. Le peuple descend dans la rue. Le député nationaliste Mossadegh prend la tête du mouvement, avec pour mot d’ordre la nationalisation du pétrole. Ce qu’il s’empressera de faire dès son arrivée au pouvoir comme Premier ministre. Une victoire de courte durée et au goût amer. Car les pays occidentaux contre-attaquent en menaçant de poursuites tout acheteur de pétrole iranien. De leur côté, les Britanniques demandent l’aide américaine. Un coup d’Etat sanglant, fomenté par la CIA et coordonné par le propre neveu du président Roosevelt, renverse le gouvernement. En 1953, le shah est de retour, et les affaires peuvent reprendre. Désormais présents en Iran, les Américains contrôlent, avec l’Arabie saoudite, deux des principaux producteurs d’or noir de la planète. La révolte suivante viendra d’Egypte, trois ans plus tard. Nasser nationalise à son tour le canal de Suez. La crise qui s’ensuit donne naissance au nationalisme arabe. S’opposer aux pays occidentaux devient une réalité envisageable…
Le salaire de la dette, comment les prêts consentis par la Banque mondiale et le FMI, censés favoriser le développement, ont entretenu la dépendance, la corruption et la pauvreté dans nombre de pays africains.
A la fin de Seconde guerre mondiale, de nombreux économistes ont cherché à comprendre comment aider les pays pauvres à rejoindre le niveau de vie des pays développées d'Europe et d'Amérique du Nord.
A cet effet, les accords de Bretton Woods en 1944 ont mis en place la Banque mondiale et le Fonds monétaire Internationale. Pourtant, force est de constater qu'aujourd'hui, tous ces efforts n'ont pas permis aux nations alliées de tenir leurs promesses.
Dans les 80, pris au piège de la dette, les gouvernements du tiers-monde se sont vus obligés de rembourser leurs emprunts avec des taux d'intérêts cinq à six fois supérieurs à ceux pratiqués sur les marchés financiers.
Ces Etats ont alors dû se plier aux plans d'ajustement structurel imposés par le FMI, qui entraînent la privatisation des services publics et l'exportation massives des ressources, avec des conséquences désastreuses pour le développement... Et, dans leur sillage, l'installation durable de la corruption et le jeu subtil des réseaux.
Pourquoi aujourd'hui des pays qui ont des ressources naturelles aussi importantes que la République démocratique du Congo, le République du Congo et le Mali demeurent-ils les plus pauvres de la planète ? Pourquoi une part importante de leur budget reste-elle consacrée au service de la dette ?
A partir d'un état des lieux lucide, et grâce à l'analyse d'experts renommés, d'hommes politiques, de responsables des grandes institutions internationales, mais aussi de militants, d'homme et de femmes sur le terrain, « Le salaire de la dette » explore les raisons de ces échecs et décrypte les mécanismes en jeu. (http://www.t411.me)
Le CCFD-Terre Solidaire est partenaire du film « Le salaire de la dette », un documentaire de Jean Pierre Carlon, diffusé sur Arte le 19 octobre 2010, avec l'intervention de Jean Merckaert.
À l’heure où les produits « longue conservation » sont de plus en plus prisés, les consommateurs ne soupçonnent pas l’existence de substances dangereuses dans les emballages hermétiques et dans les aliments avec lesquels ils sont en contact. C’est le cas du Bisphénol A, que l’on trouve dans les contenants en plastique rigide et qui peut provoquer des maladies cardiaques ou affaiblir le système immunitaire. Même risque avec les phtalates utilisés pour plastifier les matériaux servant au conditionnement. Agissant comme des hormones, ils peuvent entraîner la stérilité chez les hommes. Nombre de produits figurent sur la liste des substances interdites par l’Union européenne mais comme celle-ci importe massivement des produits venus d’Asie, où les réglementations ne sont guère restrictives
Ce document en cinq parties propose un panorama complet de la musique bretonne depuis le XIXe siècle. Pour mieux en cerner l'évolution, Pierrick Guinard a recueilli les propos d'une quarantaine de spécialistes.
Musicologues et musiciens témoignent de la vivacité d'une musique qui, aujourd'hui, s'exporte dans le monde entier.
1. A-raok ar brezel kentañ. Avant la 1ère guerre mondiale.
Le première vidéo a disparu. Seules subistent les 2e et 3e (pour l'instant)
2: Abadenn: De la guerre de 14 à 68
3: Ar bloavezhioù 70. Les années 70.
4: Les années 80
La cinquème partie n'a pas été publié sur Internet
Dans ce documentaire, Michael Moore se penche sur les causes de la crise économique mondiale ainsi qu'aux ruses politiques et corporatives qui vont culminer avec ce qu'il qualifie comme «la plus grosse escroquerie de l'histoire américaine».
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