14 novembre 2009 6 14 /11 /novembre /2009 09:38
This is one of the most surprising images, that of Yehudi Menuhin filmed in Charlie Chaplins studios in Hollywood in 1947 and conducted by Antal Dorati with the Hollywood Symphonic Orchestra formed especially for the occasion.

Watch the entire movie on medici.tv :
http://www.medici.tv/#/movie/159/

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14 novembre 2009 6 14 /11 /novembre /2009 09:34

Ravel Bolero conducted by Sergiu Celibidache.

Watch the full concert in Very High Definition on medici.tv :
http://www.medici.tv/#/movi...


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9 novembre 2009 1 09 /11 /novembre /2009 22:43
LE MONDE
09.11.09
Rome Correspondant



ll arrive que l'on soit confronté à sa bêtise. Ainsi, cette réflexion qui nous vint à l'esprit en parcourant l'exposition "Rome. La peinture d'un empire", organisée, jusqu'au 17 janvier 2010, aux Ecuries du Quirinal : "Alors, comme ça, les Romains peignaient en couleurs..." C'est qu'à force de voir le marbre crémeux des colonnes et des statues, on en oublierait (si jamais on l'avait su) que, comme l'écrit le commissaire de l'exposition, Eugenio La Rocca, dans le catalogue, "tout était peint de couleurs vives". "Pour les Grecs comme pour les Romains, le véritable art majeur était la peinture", explique-t-il.



Portraits retrouvés dans l'oasis égyptienne du Fayoum, morceaux de fresques arrachés aux ruines de Pompéi, d'Herculanum ou de la villa Farnesina à Rome, scènes quotidiennes, tableaux mythologiques : "Rome. La peinture d'un empire" réunit une centaine d'oeuvres, du IIIe siècle av. J.-C. jusqu'au IVe siècle de notre ère. Toutes témoignent d'une égale virtuosité. "Un pont vers les développements postérieurs de la peinture byzantine et médiévale", comme l'affirme Eugenio La Rocca ? C'est la thèse un peu lourde de cette exposition légèrement "mise en scène" par Luca Ronconi et Margherita Palli : affirmer que la peinture romaine serait le chaînon entre la peinture grecque, totalement disparue, et les formes les plus modernes de la représentation, au point que certains historiens évoquent "un impressionnisme antique" pour définir la prévalence de la recherche de la lumière sur la fidélité à la forme.

 

 

Il est toujours tentant de tout faire remonter à une source unique. Faute d'écrits et de connaissance du nom même des artistes, il est difficile de savoir avec certitude ce qu'ils anticipaient. Sous le fascisme, la peinture romaine (et la sculpture) fut ainsi considérée comme la matrice de tous les arts. Un jugement dont elle portera longtemps le discrédit.

 


Graffitis de vingt siècles


Reste l'impression infiniment plus excitante de "rattraper" un morceau de passé sans chercher à la relier à toute force à l'époque contemporaine. Ici un portrait, là un paysage suffisent à eux-mêmes. L'anonymat des auteurs tout comme celui des sujets ajoutent à ce plaisir. Exposée sur des fonds gris comme suspendus dans une lumière individualisée, chaque oeuvre témoigne d'une vie disparue, parvenue presque intacte jusqu'à nous. Et la découverte, sur l'une d'elles, de graffitis tracés par une main d'enfant il y a vingt siècles environ nous ramène à notre chère bêtise : "Alors, comme ça, les enfants romains écrivaient déjà sur les murs..."

 

Philippe Ridet Article paru dans l'édition du 10.11.09


"Rome. La peinture d'un empire", Scuderie del Quirinale, Rome. Jusqu'au 17 janvier 2010. Sur Internet : scuderiequirinale.it.

 

http://www.lemonde.fr/web/imprimer_element/0,40-0@2-3246,50-1264718,0.html
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6 novembre 2009 5 06 /11 /novembre /2009 22:18
SERGEJ VASIL'EVIČ RACHMANINOV

Piano Concerto n. 2 in C minor Op. 18
Mov. III -- Allegro Scherzando

Piano: Earl Wild
Royal Philharmonic Orchestra
Conductor: Jascha Horenstein












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6 novembre 2009 5 06 /11 /novembre /2009 22:01
Vladimir Sofronitsky

In his time V.Sofronitzki was considered to be the greatest pianist in Russia, a "living legend". Every Sofronitzki recital was a spiritual event for the public. He was a true poet of the piano, full of improvisatory spirit and inspiration. He had an allencompassing technique and his playing embodied a wide range of colors and textures, but these things could be said about many firstrate pianists. When at his best Sofronitzki's musicmaking seemed to transcend the bounds of normal expression and enter a new realm in which his every emotion would project from within the music and onto his audience. It is this indefinable spirituality of his playing that sets him apart.


Sofronitzki was held in the highest esteem by his colleagues, including Sviatoslav Richter, Emil Gilels and Heinrich Neuhaus. He was a friend of Prokofiev and Shostakovitch, and had a profound influence upon many Russian musicians, from V.Horovitz to Y.Kissin. When Richter and Sofronitzki drank a toast to seal their friendship, Sofronitzki proclaimed Richter a genius; Richter's immediate response was to call Sofronitzki a God. Gilels, upon hearing of Sofronitzki's death, is reputed to have said "the greatest pianist in the world has died."


As he never performed outside Russia after his tour in France in the 1929, his art remained unknown to the Western public until recent years, when some of his recordings appeared in the Philips series "Great Pianists of the 20th century". Others have appeared on Denon and Harmonia Mundi. http://www.sofronitsky.com/


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6 novembre 2009 5 06 /11 /novembre /2009 21:59
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6 novembre 2009 5 06 /11 /novembre /2009 21:08




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4 novembre 2009 3 04 /11 /novembre /2009 11:24

Rare footage of Heifetz at the height of his career. This is the introduction to the "Heifetz & Piatigorsky" DVD produced by KULTUR. Most of the Heifetz footage from that DVD (Paganini Caprice, Wieniawski, etc.) have already been posted so this is for those who are really interested in learning more about this great violinist.

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4 novembre 2009 3 04 /11 /novembre /2009 09:37

Yehudi Menuhin plays Beethoven violin concerto, first movement, and an excerpt from a violin and piano sonata by Beethoven with Glenn Gould.

This portrait of Yehudi Menuhin by Bruno Monsaingeon is available on medici.tv :
http://www.medici.tv/#/movie/127/

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30 octobre 2009 5 30 /10 /octobre /2009 13:53
The Joffrey Ballet's recreation of the 1913 Nijinsky choreography of Stravinsky's Le Sacre du printemps.
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