25 juin 2012 1 25 /06 /juin /2012 04:36

 Internationalnews

25 juin 2012

RU 14.06.2012


The big news in Venezuela is always about oil.

Le Venezuela est plus riche en pétrole que l'Arabie saoudite, selon un rapport de l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep).


Conformément à ce document, le Venezuela disposait en fin d'année 2011 de 296,50 milliards de barils d'or noir pouvant être exploités, contre 211,2 milliards un an plus tôt. Il surpasse ainsi le royaume saoudien dont les réserves prouvées sont restées stables, à 264,5 milliards.


La hausse des cours du brut - de 20 dollars le baril dans les années 90 à plus de 90 actuellement - a également ravivé l'intérêt des compagnies étrangères, même si certaines ont quitté le pays après la nationalisation du secteur par le gouvernement socialiste en 2007.

 

http://www.internationalnews.fr/article-petrole-le-venezuela-est-le-plus-riche-pays-du-monde-107438084.html

Partager cet article
Repost0
19 août 2011 5 19 /08 /août /2011 13:13

Internationalnews

 

Un grand merci à Thomas pour l'envoi de ce documentaire !


 michael ruppert collapse


Michael Ruppert ’est un ancien enquêteur de la police de Los Angeles, il a ensuite été journaliste d’investigation pendant 30 ans et c’est l’un des seuls à avoir prévu la crise financière quand tous les experts économiques rejetaient ce scénario. Le pic pétrolier sonnera, d’après lui, le glas de nos sociétés modernes, 90% de notre économie étant basé sur cette ressource (carburant, polymères, plastiques en tous genres, innombrables dérivés…). source: philo91


Michael C. Ruppert (born 1951) is an American author, a former Los Angeles Police Department officer and investigative journalist and peak oil theorist. Until 2006, he published and edited From The Wilderness, a newsletter and website covering a range of topics including (international) politics, the C.I.A.peak oil, civil liberties, drugs, economics, corruption and 9/11 alternative theories. He is also the author of Crossing The Rubicon: The Decline of the American Empire at the End of the Age of Oil[1] and was the subject of the 2009 documentary film Collapse.[3]

Currently, he is CEO and president of Collapse Network, Inc, and hosts The Lifeboat Hour on Progressive Radio Network.(From Wikipedia)

 

Suite ici:

 

http://www.internationalnews.fr/article-collapse-effondrement-vostfr--81899015.html

Partager cet article
Repost0
14 février 2010 7 14 /02 /février /2010 08:17
12-03-2009
Les technologies de l’information et de la communication, dites TIC, ont envahi notre quotidien. Sous cette vaste dénomination, se côtoient ordinateurs et autres équipements informatiques, appareils de téléphonie fixe et mobile, téléviseurs et dérivés audiovisuels (décodeurs…), sans oublier la large gamme couverte par les matériels électroniques (détecteurs de présence, imageries médicale…). Economes en déplacements et en contraintes, les services rendus par les TIC sont régulièrement promus comme atouts écologiques. Pourtant, cette promotion environnementale est à nuancer.
Ayant le vent en poupe depuis le début des années 1990, le secteur des TIC ne s’est que récemment préoccupé des enjeux environnementaux liés à son développement. Conscients de ces lacunes, le ministère de l’écologie et le ministère de l’industrie ont respectivement mandaté, en mars 2008, le Conseil Général de l’Environnement et du Développement Durable et le Conseil Général des Technologies de l’Information pour la rédaction d’un rapport étudiant la place à accorder aux TIC dans le cadre d’une politique de développement durable.

Or, malgré un fort potentiel de réduction des émissions de gaz à effet de serre, les TIC s’avèrent de plus en plus gourmandes en électricité. D’après les estimations du rapport, la consommation électrique annuelle des TIC s’élève à 58,5 TWh, soit 13, 5 % de la consommation électrique française estimée à 434 TWh. Les téléviseurs et leurs périphériques constituent le plus gros poste de la consommation électrique au sein des TIC. Cela s’explique notamment par l’engouement nouveau que suscitent les écrans plats, jugés très énergivores, ainsi que par l’achat croissant d’adaptateurs/ décodeurs, destinés à assurer la transition vers le numérique et la haute définition. A cet égard, le passage à la TNT (1) dès fin 2011 n’a rien de réjouissant et illustre la nécessité, à l’heure actuelle, de prendre les devants via des mesures visant à maîtriser et réduire la dépense énergétique des TIC.
Parmi les pistes envisagées en ce sens dans le présent rapport, figurent, entre autres, l’affichage obligatoire de la consommation des téléviseurs en fonctionnement et en veille, l’obligation d’une compatibilité TNT-HD pour tout téléviseur ou adaptateur mis sur le marché dès 2009, voire le recours à un bonus/malus « modéré ».

Pourtant, il ne s’agit pas de limiter les TIC mais, bien au contraire, d’en favoriser un développement plus responsable. Pour rendre à ces technologies nouvelles tout leur potentiel de réduction des émissions de gaz à effet de serre (GES), les auteurs du rapport appellent à une nécessaire mutation de nos façons de consommer, de travailler… Sont ainsi prônés le développement de l’achat en ligne, de même que le télétravail via des visioconférences. Or, en la matière, la France fait figure de retardataire avec environ 7 % de « télétravailleurs » contre 13 % en Europe. Pourtant, les alternatives qu’offrent les TIC « pourraient permettre d’économiser d’une à quatre fois leurs propres émissions de GES. En effet, c’est l’activité économique dans son ensemble qui réduit ses émissions grâce aux TIC… ».

Pour l’heure, si la tendance actuelle se maintient, avec un taux de croissance moyen de 10 %, les TIC pèseront pour 20 % de la consommation d’électricité française dès 2012. Un pourcentage difficilement conciliable avec l’objectif de réduction de 20 % de la consommation énergétique globale à l’horizon 2020.
Cécile Cassier
Illustration © rapport TIC et Développement durable
1- Télévision Numérique Terrestre.

http://www.univers-nature.com
Partager cet article
Repost0
8 novembre 2009 7 08 /11 /novembre /2009 07:13


Lien vers video en français: link http://www.dailymotion.com/video/x5ru5a_20080613-la-voiture-qui-marche-a-le_news


It runs only on a 300W "Water Energy System (WES)" where WATER is the only FUEL.  The basic power generation mechanism of the new system is similar to that of a normal fuel cell, which uses hydrogen as a fuel. According to Genepax, the main feature of the new system is that it uses the company's membrane electrode assembly (MEA), which contains a material capable of breaking down water into hydrogen and oxygen through a chemical reaction.

A Japanese venture company, Genepax, has unveiled a car on that runs on water. All it requires is a litre of water. In fact, any kind of water to be exact, whether its river, rain, sea water, or even Japanese tea. Its an electric powered car that runs solely on hydrogen dioxide.

"The main characteristic of this car is that no external input is needed. The car will continue to run as long as you have a bottle of water inside for you to add from time to time," said Kiyoshi Hirasawa, Chief Executive Officer of Genepax, after he proudly announced the company's invention.

Once water is poured into the water tank at the back of the car, the newly invented energy generator takes out the hydrogen from the water, releases electrons and finally generates electrical power.

"We highly recommend our system since it does not require you to build up an infrastructure to recharge your batteries, which is usually the case for most electric cars," said Hirasawa, who is hoping to advertise the car in time for the upcoming G8 Summit in Hokkaido, Japan.

According to the company, 1 liter of water keeps the car running for about an hour with a speed of 80 kilometers or 50 miles an hour. The company has applied for a patent and is hoping to collaborate with Japanese automobile manufacturers to mass manufacture their invention in the very near future. As fuel prices continue rising and people look for greener alternatives, companies globally are trying to come up with alternatives.

More: link http://www.genepax.co.jp/
link http://en.wikipedia.org/wiki/Water-fuelled_car
Water Engine for Real? Scientists Say H20-to-Hydrogen System Could Be Ready by Decade's End
Alternative energy: link http://www.brasschecktv.com/page/216.html


raviwfc  Juin 2008


http://www.internationalnews.fr/article-japanese-water-powered-car-39100611.html
Partager cet article
Repost0
3 octobre 2009 6 03 /10 /octobre /2009 19:29
September 28, 2009 - Jessy Tolkan: Washington saying coal industry can be "clean" is pure fiction
Paul Jay speaks to Jessy Tolkan at the Tides Foundations' Momentum conference in San Francisco. They speak about Tolkan's coalition on climate change fighting Obama to establish a moratorium on all coal mining. Tolkan says that Washington's push for "clean coal" is not enough because the coal industry's and President Obama's argument that the production of coal can be clean is "an absolute, 100% lie." She also says that "the science is clear that if we don't address coal head on, it's almost "game over" for the planet."



link http://therealnews.com/t/index.php?option=com_content&task=view&id=31&Itemid=74&jumival=4217
Partager cet article
Repost0
3 mars 2009 2 03 /03 /mars /2009 17:01
Arte reportage

Présenté par : Nathalie Georges, Andrea Fies

L'Indonésie détient le taux de déforestation le plus fort du monde : l'équivalent d'un terrain de football toutes les 15 secondes. Les feux, allumés volontairement, se chargent de nettoyer ce qui reste de forêt primaire, dégageant tant de carbone que l'Indonésie est le troisième pays émetteur de gaz à effets de serre. Les anciens paysages ont été remplacés par des palmiers à huile, une monoculture rentable. D'autant que depuis peu, l'huile de palme entre dans la composition du biocarburant, et qu'une loi votée par le parlement européen impose un taux de 10% de biocarburants d'ici 2020.


Partager cet article
Repost0
18 février 2009 3 18 /02 /février /2009 10:48

Février 2009

"Les promoteurs des biocarburants les présentaient comme «l'énergie verte» de demain. C'est pourtant bien l'exploitation intensive de l'huile de palme qui a placé l'Indonésie au troisième rang des pays les plus pollueurs de la planète.

Selon Greenpeace, l'équivalent d'un terrain de football est brûlé toutes les dix secondes dans ce pays pour remplacer les forêts tropicales par des plantations lucratives de palmiers à huile. Le désastre écologique qu'entraîne la culture de cette nouvelle manne ne s'arrête pas là. Sur l'île de Bornéo, la déforestation favorise l'érosion des sols.

La culture massive de palmiers à huile provoque également un drame social en Indonésie. Les paysans de l'île de Sumatra, dépossédés de leurs terres au profit des sociétés de plantation, peinent à obtenir quelques hectares en guise d'indemnisation."

 

Partager cet article
Repost0
14 février 2009 6 14 /02 /février /2009 22:49

Orangutans and Palm Oil: Viral Internet Advert to raise awareness of one of the risks of adopting palm oil as a biofuel in Europe. This advert focuses on the impacts on biodiversity with the orangutan representing a flagship species that whose greatest threat today is the loss of forest for oil palm plantations.

Made in collaboration with Greenpeace, EnoughsEnough and Films4Conservation. Find out more at
www.films4.org/palmoil


Partager cet article
Repost0
3 juin 2008 2 03 /06 /juin /2008 16:52

Le Courrier.ch

Archives
Paru le 04 Novembre 2002



Par MANLIO DINUCCI  
  


GUERRE Selon une étude de la Deutsche Bank les réserves de pétrole irakien dépasseraient celles de Riad. La «connection» étasunienne du pétrole salive en vue du conflit irakien.





 

Source: www.cleanmpg.com

 


Etant donné que «M. Hussein a favorisé des entreprises françaises russes et chinoises» en finalisant avec elles (y compris des compagnies italiennes) des accords pour l`exploitation du pétrole irakien alors que «les multinationales étasuniennes ainsi que l`anglo-étasunienne BP Amoco en ont été exclues» ces accords «seront honorés si M. Hussein reste à la tête du pays» mais «s`il en est éloigné de grandes manoeuuvres s`ouvriront autour des gisements irakiens» peut-on lire dans le rapport. Et dans cet Irak qui deviendra le prochain «protectorat» de Washington les compagnies étasuniennes tireront leur épingle du jeu: Exxon Mobil et BP Amoco qui seront secondées par l`anglo-hollandaise Royal Dutch Shell.


BARILS DÉTERRÉS


Quelle est la visée de ces manoeuuvres? L`Energy Information Administration (EIA) une organisation gouvernementale étasunienne explique que l`Irak possède des réserves de pétrole consistantes atteignant en 2002 les 112 milliards de barils. Ce «trésor» vient après celui de l`Arabie Saoudite qui compte 262 milliards de barils. Aux réserves irakiennes connues s`ajoutent celles qui ont été découvertes ces dernières années dans le désert occidental une zone que selon une information diffusée par l`Associated Press le premier ministre israélien Ariel Sharon a proposé à George W. Bush d`occuper «préventivement» par une «opération conjointe».


Les barils retrouvés devraient avoisiner le chiffre de 220 milliards de barils. Mais poursuit l`EIA «étant donné que le pays est resté en grande partie inexploré à cause de la guerre leur nombre pourrait être plus élevé». Globalement les réserves de pétrole irakien se situeraient alors autour des 332 milliards de barils ce qui veut dire que Bagdad détient la palme mondiale devant l`Arabie Saoudite. De leur côté les Etats-Unis ne disposent que de 22 milliards de barils. Selon le rythme de consommation actuel le brut étasunien ne durerait que onze ans alors que les fûts irakiens pourraient alimenter les besoins en énergie pour plus d`un siècle et demi. Or il faut savoir que Washington dépend de plus en plus des importations de pétrole. Le pays en a tellement besoin qu`il importe de l`Iran quelque 795 000 barils par jour. Dans le marché en outre «les prix sont tellement élevés que la relance économique pourrait être compromise» analyse l`EIA.


BUSH CHENEY AND CO


Dès lors la solution semble à portée de main. En occupant l`Irak les Etats-Unis disposeraient d`énormes réserves de pétrole à bas prix. La mainmise sur le brut irakien permettrait à Washington d`affaiblir l`OPEP le cartel des pays producteurs de pétrole. Qui plus est le contrôle du robinet de Bagdad libérerait l`Oncle Sam de la dépendance vis-à-vis de l`Arabie Saoudite un pays devenu peu fiable aux yeux des Etats-Unis et lui offrirait l`opportunité d`influer sur la fixation des prix. Washington pourrait également diriger l`effet de concurrence du pétrole irakien contre la Russie mais surtout contre l`Union européenne et le Japon. Ces derniers dépendent respectivement à hauteur de 30% et 81% du brut du Golfe.


Voilà pourquoi le contrôle des vannes pétrolières de Bagdad est de plus en plus un objectif primaire pour les Etats-Unis. Sans oublier les visées de la puissante «connection» du brut très présente au sein de l`administration de George W. Bush le représentant maximus du lobby pétrolier américain secondé par le vice-président Dick Cheney qui était jusqu`à hier le directeur général de la compagnie Halliburton Co la «première gagnante» d`une éventuelle guerre en Irak.


Adaptation: FLo.

http://lecourrier.ch/index.php?name=NewsPaper&file=article&sid=1911

Partager cet article
Repost0
30 mai 2008 5 30 /05 /mai /2008 17:13

Countercurrents.org

30 May, 2008


What's Really Driving
The High Price Of Oil?



By Ralph Nader


What factors are causing the zooming price of crude oil, gasoline and heating products? What is going to be done about it?

 

 



 


Photo: Joëlle Pénochet Columbia Sept. 2004



Don’t rely on the White House—with Bush and Cheney marinated in oil—or the Congress—which has hearings that grill oil executives who know that nothing is going to happen on Capitol Hill either.


Last week the price of crude oil reached about $130 a barrel after spiking to $140 briefly. The immediate cause? Guesses by oil man T. Boone Pickens and Goldman Sachs that the price could go to $150 and $200 a barrel respectivly in the near future. They were referring to what can be called the hoopla pricing party on the New York Mercantile Exchange. (NYMEX)


Meanwhile, consumers, workers and small businesses are suffering with the price of gasoline at $4 a gallon and diesel at $4.50 a gallon. Suffering but not protesting, except for a few demonstrations by independent truckers.


A consumer and small business revolt could be politically powerful. But what would they revolt to achieve? Their government is paralyzed and is unable to indicate any action if oil goes up to $200 or $400 a barrel. Washington, D.C. is leaving people defenseless and drawing no marker for when it will take action.


Oil was at $50 a barrel in January 2007, then $75 a barrel in August 2007. Now at $130 or so a barrel, it is clear that oil pricing is speculative activity, having very little to do with physical supply and demand. An essential product—petroleum—is set by speculators operating on rumor, greed, and fear of wild predictions.


Over the time since early 2007, U.S. demand for petroleum has fallen by 1 percent and world demand has risen by 1.3 percent. Supplies of crude are so plentiful, according to the Wall Street Journal, “traders of physical crude oil say their market is suffering from too much supply, not too little.”


Iran, for instance, is storing 25 million barrels of heavy, sour crude oil because, in the words of Hossein Kazempour Ardebili, Iran’s oil governor, “there are simply no buyers because the market has more than enough oil.”


Mike Wittner, head of oil research at Societe Generale in London agrees. “There’s various signals out there saying for right now, the markets are well supplied with crude.”

Historically, oil has been afflicted with the control of monopolists. From the late nineteenth century days of John D. Rockefeller, and his Standard Oil monopoly, to the emergence of the “Seven Sisters” oligopoly, made up of Standard Oil, Shell, BP, Texaco, Mobil, Gulf and Socal, to the rise of OPEC representing the major producing countries, the “free market” price of oil has been a mirage. Despite the breakup of the Standard Oil company by the government’s trustbusters about 100 years ago, selling cartels and buying oligopolies kept reasserting themselves.


In an ironic twist, the major price determinant has moved from OPEC (having only 40% of the world production) and the oil companies to the speculators in the commodities markets. What goes on in the essentially unregulated New York Mercantile Exchange (NYMEX)—without Commodity Futures Trading Commission (CFTC) enforced margin requirements, and, unlike your personal purchases, untaxed—is now the place that leads to your skyrocketing gasoline bills. OPEC and the Big Oil companies reap the benefits and say that it’s not their doing, but that of the speculators. Gives new meaning to “passing the buck.”


Deborah Fineman, president of Mitchell Supreme Fuel Co. in Orange, New Jersey, summed up the scene: “Energy markets have been dictated for too long by hedge funds and speculators, who artificially manipulate the numbers for their own benefit. The current market isn’t based on the sound principles of supply and demand but it is being rigged by companies and speculators who are jacking up prices for their own greed.”


Harry C. Johnson, former banker who worked for many years inside Big Oil and ran his own small oil company in Oklahoma, blames the CFTC, the Department of Energy, the Administration, and Congress, as “asleep at the switch on an issue that is probably costing U.S. consumers $1 billion per day.”


He cites “some industry experts, who profit greatly from the high price of crude, and have stated openly that the worldwide economic price of crude, absent speculators, would be around $50 to $60 per barrel.


Imagine, our government is letting your price for gasoline and home heating oil be determined by a gambling casino on Wall Street called NYMEX. The people need regulatory protection from speculators and an excess profits tax on Big Oil.


In addition, a sane government would see the present price crises as an opportunity to expand our passenger and freight railroad capacity and technology.


A sane government would drop all subsidies and tax loopholes for Big Oil’s huge profits and other fossil fuels and promote a national mission to solarize our economy to achieve major savings from energy conservation technology, retrofitting buildings, and upgrading efficiency standards for motor vehicles, home appliances, industrial engines and electric generating plants.


Those are the permanent ways to achieve energy independence, reduce our trade deficit, create good jobs that can’t be exported and protect the environmental health of people and nature.


Those are the reforms and advances that a muscular consumer, worker and small business revolt can focus on in the coming weeks.


What say you, America?


Ralph Nader is running for president as an independent.

http://www.countercurrents.org/nader300508.htm



Articles/video on Energy issue:
Energie/Energy
Nucléaire Civil/Nuclear Energy
Energies propres/Clean Energy
Agrocarburants/Agrofuel



Articles/video - Ralph Nader:

 

Partager cet article
Repost0

Présentation

  • : internationalnews
  • : Un site d'information et de réflexion sur l'actualité internationale, le nouvel ordre mondial, la géostratégie, la propagande, l'impérialisme, le nucléaire, l'économie, l'environnement et la culture, illustré de documentaires. Site géré par des journalistes bénévoles, sans aucune obédience politique, religieuse ou autre.
  • Contact

STOP TAFTA !

Rechercher

Dossiers les plus consultés