28 janvier 2015 3 28 /01 /janvier /2015 15:05

Internationalnews

Par Stathi Kouvelakis

Comme prévu, c’est une vague Syriza qui a emporté les élections ce dimanche. A Athènes dans les quartiers populaires, c’est une véritable débandade pour la droite. En province, ce sont des pans entiers de l’électorat de droite qui se sont ralliés, après ceux du PASOK. Du point de vue politique, la bourgeoisie grecque et son personnel politique sont abattus et aphones.

 

Tous leurs espoirs pour affronter Syriza sont maintenant reportés sur les dirigeants européens. De ce côté, la ligne semble claire : c’est la politique de la « cage de fer » et dans laquelle il s’agit d’enfermer immédiatement un gouvernement Syriza.

 

Le fer de lance est de l’obliger à demander une prolongation de l’actuel « programme d’aide », qui vient à échéance le 28 février. Une telle prolongation permettrait une poursuite du financement, donc du remboursement de la dette, mais elle implique également la poursuite de la politique actuelle et de la mise sous surveillance du pays par la Troïka – éventuellement sous des modalités légèrement réaménagées.

 

Les décisions de la BCE annoncées s’inscrivent dans ce cadre. L’inclusion de la Grèce dans le programme de rachat des dettes publiques suppose l’acceptation d’un « programme d’aide » (les titres de la dette grecque, qui ne valent pas grand chose, ne remplissent pas les conditions d’un ré-achat standard).

 

Il en est en substance de même à propos de l’autorisation accordée par la BCE pour l’accès à la liquidité des banques grecques via le mécanisme de l’ELA. Elle doit être renouvelée tous les 15 jours et suppose la poursuite d’un « programme d’aide ». Comme on l’aura compris, il ne faut plus dire « mémorandum » mais programme d’aide.

Les intentions de Syriza face à ces difficultés, parfaitement prévisibles dans leurs grandes lignes, ne sont pas claires. La campagne s’est surtout voulue « rassurante », visant l’électorat modéré et indécis, et a diffusé l’image d’une « Europe qui change », et même à toute vitesse, et qui est disposée à accéder aux demandes de Syriza.


Ces derniers jours, des déclarations de dirigeants de Syriza, tous principalement des économistes (Dragasakis, Tsakalotos), mais aussi du « bras droit » de Tsipras et directeur de son staff personnel Nikos Pappas, laissent entendre que Syriza serait d’accord pour demander une prolongation « technique » du « programme d’aide » en cours, pour « donner du temps à la négociation ». Les conditions qui seront exigées d’une telle prolongation prétendument « technique » sont passées sous silence.

 

On se retrouve donc face à un nœud de contradictions, qui, sous des formes diverses, jalonnent la trajectoire de Syriza et la situation grecque dans son ensemble. Déjà, entre les deux élections de mai et juin 2012, à peu près les mêmes dans Syriza (Dragasakis en première ligne) s’étaient démarqués de la ligne du parti et avaient écarté l’idée d’une annulation « unilatérale » du Mémorandum.


Dragasakis avait alors développé des distinctions oiseuses entre la dénonciation « politique » du Mémorandum et la « dénonciation juridique », qui équivaudrait à ces « actions unilatérales » qu’il abhorre. De tels propos avaient coûté cher à Syriza à l’époque, donnant l’impression d’un flou artistique, annonciateur de repli, sur les questions les plus décisives. Mais in fine ce n’est pas cette ligne qui avait prévalu. Qu’en sera-t-il à présent ? C’est peut-être LA question essentielle.


Actuellement, tout en étant lucide sur les contradictions, il faut se réjouir pleinement de la large victoire de Syriza, même si c’est dommage de ne pas avoir atteint de majorité parlementaire absolue pour deux sièges seulement. Ce raz de marée va redonner confiance aux secteurs les plus conscients, et permettre un redémarrage des mobilisations populaires.


C’est bien sûr la véritable clé. Enfin, une telle vague va avoir un très grand impact international, sur les gouvernements et sur toute cette gauche sociale et politique qui mise, à juste titre, sur Syriza et qui a envie de se jeter dans les batailles.


Ce qui se passe en Grèce, on ne le dira jamais assez est énorme, proprement historique, la première brèche décisive avec le néolibéralisme en Europe, et l’opportunité extraordinaire pour la « gauche de gauche » de rompre avec la malédiction des défaites qui sont celles des batailles perdues sans avoir été livrées. Une seule option donc : oser lutter, oser vaincre ! »


« Notre avenir commun en Europe n’est pas celui de l’austérité, c’est celui de la démocratie, de la solidarité et de la coopération. »... M. TSIPRAS


Lire : L’ALLEMAGNE NE PAYE PAS CES DETTES ... mais critique la Grèce

»» http://2ccr.unblog.fr/2015/01/26/syriza-une-breche-dans-leurope-neoliberale/
Lire aussi: Jacques Sapir : Le choix de Tsypras

 

Source de l'illustration: http://www.voxeurop.eu/fr/content/news-brief/4868211-syriza-fait-peur-aux-dirigeants-europeens

http://www.internationalnews.fr/article-syriza-une-breche-dans-l-europe-neoliberale-125450716.html
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15 novembre 2014 6 15 /11 /novembre /2014 09:42

Internationalnews

 

Où l'on apprend que comment certains géants du tabac séduisent les Etats en vantant les économies sur les retraites engendrées par la mort des fumeurs

  Un reportage choc sur le lobbying de l’industrie du tabac au coeur des instances européennes

 

Chaque année, le tabac tue 73 000 personnes en France. Officiellement, les pouvoirs publics luttent contre ce fléau, notamment en augmentant régulièrement le prix des paquets de cigarettes. Mais qui sait que les géants de l’industrie du secteur alimentent par des millions d’euros le budget de l’État, en toute discrétion ?

 

Documents confidentiels à l'appui, Laurent Richard, après une enquête d'un an dans les coulisses de l'industrie du tabac, révèle ses stratégies secrètes.

 

C’est l’une des révélations du nouveau numéro de Cash Investigation, diffusé le 7 octobre sur France 2. Les équipes de Premières Lignes, la société de production de l’émission, ont mis la main sur un rapport secret de 600 pages, dans lequel Philip Morris a fiché les 754 députés, en recensant leurs tempérament, charisme, ambition personnelle, hobbies, et évidemment leurs prises de position sur le tabac. Un véritable plan d’attaque pour tenter d’affaiblir la directive tabac avant son adoption (en mars dernier) par le Parlement. Ceux que l’industriel considère comme des alliés potentiels apparaissent en vert, les autres en rouge.

 

Plus effarant encore, certains députés « verts », à l’instar de l’UMP Gaston Franco, ne cachent pas soumettre texto au Parlement européen une grande partie des amendements que Philip Morris leur suggère. « Il est incroyable de voir à quel point leur stratégie est efficace. Il n’y a même plus besoin de corruption, de dessous de table », souligne la présentatrice Élise Lucet, qui a réussi à interviewer un porte-parole du géant américain… maniant à la perfection les éléments de langage. Et l’on n’est pas au bout de nos surprises dans cette enquête passionnante, déclinée sur le ton mordant qui sied si bien à Cash. Source

 

 

Source de la photo

 

http://www.internationalnews.fr/article-industrie-du-tabac-la-grande-manipulation-documentaire-oct-2014-125011744.html

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30 octobre 2014 4 30 /10 /octobre /2014 05:59

Internationalnews

RIA Novosti 30 octobre, 08:35

MOSCOU - RIA Novosti/La Voix de la Russie

 

Le travail de Vladimir Poutine au poste de président russe satisfait 88% des habitants de la Russie, rapporte mercredi le centre d'analyse national Levada à l'issue d'un sondage.


Selon les sociologues, 88% des Russes approuvent somme toute le travail du président, alors que 11% d'autres le désapprouvent. 1% des sondés n'ont pas d'opinion sur ce point.

 

Interrogés sur leur avis du travail Dmitri Medvedev au poste de premier ministre, 2% des personnes interrogées n'ont donné aucune réponse, alors que 68% d'autres se sont prononcés favorablement sur l'activité du chef du gouvernement. 30% ont avoué ne pas approuver le travail du premier ministre.

 

Par ailleurs, les sondés ont été invités à citer cinq ou six personnalités politiques ou publiques qui leur inspiraient le plus de confiance. Vladimir Poutine est crédité par le plus de Russes (60%). Le ministre de la Défense Sergueï Choïgou vient en deuxième position avec 26%.

 

Dmitri Medvedev et le ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov sont crédités respectivement de 20% et de 19%. 12% des sondés ont déclaré ne faire confiance à personne, et 14% d'autres ont dit n'avoir aucun intérêt pour la politique et les politiques en général.

 

Le sondage a été réalisé du 24 au 27 septembre derniers auprès de 1.600 citoyens russes d'au moins 18 ans. La marge d'erreur statistique ne dépasse pas 3,4%.

 

http://www.internationalnews.fr/article-plus-de-85-des-russes-approuvent-le-travail-de-poutine-sondage-124941825.html

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11 octobre 2014 6 11 /10 /octobre /2014 09:27

 Internationalnews
Collectif national unitaire stop TAFTA

Plus de 300 actions, dont 60 en France, sont prévues dans 20 pays pour cette journée européenne d’action contre le TAFTA, le CETA et le TiSA ainsi que contre les gaz et pétrole de schiste à l’occasion de seconde édition du « Global Frackdown ».


Voir la carte des manifestations

 

TAFTA, CETA, TISA ?

 

Ces sigles désignent des accords de libre-échange et d’investissement négociés dans le plus grand secret. S’ils sont adoptés, ils consacreront la domination des multinationales sur nos sociétés, au détriment des citoyen.ne.s et de la démocratie.


Sous couvert d’une hypothétique relance de la croissance, ces accords s’attaquent aux normes sociales, financières, sanitaires, culturelles et environnementales. Si elles s’estiment lésées, les multinationales pourront poursuivre les Etats devant des tribunaux privés d’arbitrage, hors de tout contrôle démocratique.


Ces accords menacent de mettre en péril ce qui rend nos sociétés encore vivables.


Le 11 octobre, mobilisons-nous pour faire échouer ces négociations !


Des actions sont prévues partout en France et à travers l’Europe.


Et n’oubliez pas de vous déclarer Hors-TAFTA !

 

 

Les enjeux du grand traité transatlantique - tafta (vidéo, 1h 03) + dossier

Les enjeux du grand traité transatlantique - tafta (vidéo, 1h 03) + dossier

Sur les dangers du traité transatlantique - susan george

Sur les dangers du traité transatlantique - susan george

Le grand marché transatlantique, et puis et puis… (+ dossier)
Le grand marché transatlantique (gmt) et les municipalités (+ dossier)

Le grand marché transatlantique, et puis et puis… (+ dossier)

Marché transatlantique ue-etats-unis : le mandat explosif de la commission européenne

Marché transatlantique ue-etats-unis : le mandat explosif de la commission européenne

Jean-luc melenchon sur la réforme des retraites… (vidéo, 37' 16)

Jean-luc melenchon sur la réforme des retraites… (vidéo, 37' 16)

Jean luc mélenchon le futur grand marché transatlantique

Jean luc mélenchon le futur grand marché transatlantique

 

 

#TAFTA le menu ! S'il ne vous convient pas, on vous recommande vivement de nous rejoindre samedi prochain. Trouvez la manif proche de chez vous ici : http://www.collectifstoptafta.org/

 

 

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8 juillet 2014 2 08 /07 /juillet /2014 22:36

Internationalnews

 

Vladimit Bukovski, ancien dissident de l'Union soviétique qui a passé 12 ans de sa vie emprisonné (camp, hôpital psychiatrique) compare l'Union européenne à l'ancienne Union Soviétique. Le premier à dénoncer l'utilisation de l'emprisonnement psychiatrique contre les prisonniers politiques, il fut échangé en 1976 contre le dirigeant communiste chilien Luis Corvalán.

 

 

http://www.lesobservateurs.ch/wp-content/uploads/2013/03/europe-urss.jpg

 

Voir aussi la vidéo:

http://www.internationalnews.fr/article-l-ancien-dissident-de-l-union-sovietique-vladimir-boukovki-compare-l-ue-a-l-ancienne-urss-video-en-124100924.html

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21 juin 2014 6 21 /06 /juin /2014 13:40

Internationalnews

20 juin 2014

Ce qui guette la France et d'autres pays de l'UE plus tôt qu'on peut le penser...


 

Express.be 19 juin 2014

 

"En 2011 et 2012, les Grecs avaient fait un pas en arrière vers une société à la Dickens, en 2013 et 2014, ils ont effectué un grand bond en arrière, vers le Moyen Age »

Les travailleurs grecs vivent dans des conditions choquantes et leur situation peut être comparée à celle des serfs au Moyen Age, conclut-on après avoir lu une étude de l’Institut du travail de la Confédération des syndicats du Travail (GSEE), dont le blog KeepTalkingGreece a eu connaissance.

Voici certains de ses points les plus saillants :

  • Les travailleurs perçoivent leurs salaires avec un retard de 3 à 12 mois.
  • Les travailleurs ne perçoivent qu’un tiers de leur salaire, le reste est payé en nature, par exemple avec un séjour gratuit dans un hôtel, de la nourriture gratuite ou des bons aliments et d’autres produits dans les supermarchés.
  • Le paiement des 13e et 14e  mois  de salaire, rendus obligatoires par la législation grecque, et traditionnellement versés à Noël et Pâques, n’est plus assuré totalement. En compensation, les salariés obtiennent de la nourriture et / ou des bons pour le carburant. Les employeurs les forcent à signer un reçu attestant qu’ils ont perçu l’intégralité de leurs primes. La GSEE estime qu’un million de travailleurs seraient concernés.
  • Les travailleurs de moins de 25 ans ne sont plus embauchés que dans le cadre de contrats mensuels à temps partiel. Ils travaillent 4 heures par jour pour un salaire de 180 euros par mois, ce qui correspond à un salaire de 7,20 euros par jour soit un taux horaire de 1,72 euro. La loi impose un salaire mensuel brut minimum de 480 euros pour un plein temps pour les moins de 25 ans.

Les statistiques concernant les 423.174 emplois à pourvoir pour les mois de janvier-avril 2014 montrent que 140.527 d’entre eux étaient des emplois à temps partiel, et 50.264 des emplois de rotation, soit presque autant combinés que le nombre des emplois à plein temps (232 383).

« Il est dérangeant qu’alors qu’en 2011 et 2012, les Grecs avaient fait un pas en arrière vers une société à la Dickens, en 2013 et 2014, ils ont effectué un grand bond en arrière, vers le Moyen Age », commente le blog KeepTalkingGreece.

Titre original: 'Nous sommes en 2014, au sein de l'UE, et le travailleur grec a de facto le statut d'un serf du Moyen-Âge

Source de la photo 2

Photo 1

http://www.internationalnews.fr/article-grace-a-l-ue-le-travailleur-grec-a-aujourd-hui-le-statut-d-un-serf-123956106.html

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19 juin 2014 4 19 /06 /juin /2014 11:56

Internationalnews

Ria Novosti

Par La Voix de la Russie 

 

La Commission européenne a versé à l'Ukraine une nouvelle tranche d'assistance macrofinancière (AMF II) de 500 millions d'euros, levés par l'UE sur les marchés financiers à la mi-juin pour un délai de 10 ans, annonce mardi la commission.

« Au nom de l'Union européenne, la commission a versé aujourd'hui 500 millions d'euros à l'Ukraine, soit la première tranche de prêt dans le cadre du nouveau (deuxième) programme d'aide macrofinancière (AMF II) de l'UE », lit-on dans le communiqué de presse.

Le programme AMF II vise à aider l'Ukraine économiquement et financièrement durant l'étape cruciale actuelle de son développement et fait partie du programme annoncé par la Commission européenne le 5 mars. Il a été mis en œuvre parallèlement au programme déjà approuvé de 610 millions d'euros (AMF I), pour un total de 1,61 milliard d'euros. L'UE a déjà versé 100 millions d'euros à l'Ukraine le 20 mai dernier.

Le groupe russe Gazprom a instauré lundi un système de prépaiement des livraisons de gaz pour l'Ukraine, la dette du groupe ukrainien Naftogaz pour le gaz russe livré à l'Ukraine s'élevant à 4,458 milliards de dollars. Gazprom affirme toutefois que cette décision sera sans incidence sur les exportations de gaz russe vers l'Europe.

Le ministre autrichien de l'Economie Reinhold Mitterlehner a déclaré mardi que la situation relative aux livraisons de gaz russe en Ukraine exigeait une solution politique impliquant l'Union européenne, y compris le remboursement éventuel par l'UE de la dette gazière ukrainienne.

Photo: The Nation

http://www.internationalnews.fr/article-l-ue-verse-une-nouvelle-tranche-de-500-m-eur-a-kiev-123935937.html

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5 juin 2014 4 05 /06 /juin /2014 10:57

Internationalnews

 

 

Ce documentaire réalisé par ERTV explique les origines, les objectifs, la mise en place et les conséquences du Traité transatlantique. Composé d'une série d'entretiens avec Pierre Hillard, Pierre-Yves Rougeyron, Jean-Claude Martinez et Maurice Gendre, cette vidéo à la fois pédagogique et complète vous permettra de découvrir qu'au-delà de son aspect parfois technique, le Traité transatlantique risque de modifier notre alimentation, notre santé, d'affaiblir encore davantage l'État, et même de remettre en cause nos libertés publiques.

 

 

Europe : la liberté de cultiver menacée par les futurs traités de libre-échange (+ dossier)

Sur les dangers du traité transatlantique - Susan George

Jean luc mélenchon le futur grand marché transatlantique

Marché transatlantique ue-etats-unis : le mandat explosif de la commission européenne

Le grand marché transatlantique, et puis et puis… (+ dossier)

Le grand marché transatlantique (gmt) et les municipalités (+ dossier)

Eads et sa filiale airbus au service du bloc atlantique

 

http://www.internationalnews.fr/article-les-enjeux-du-traite-transatlantique-hd-video-123822687.htm

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24 mai 2014 6 24 /05 /mai /2014 06:28

Internationalnews

 

Nota bene. Nous publions ici le point de vue du Comité Valmy, dont nous partageons l'analyse, mais pas nécessairement la conclusion.

 

En effet il existe un parti, et seul, qui se prononce radicalement contre l'UE, l'Euro et l'OTAN, c'est l'UPR.

 

RESISTANCE !

dimanche 25 mai 2014, par Comité Valmy

 

"Élection" européenne : le 25 mai, l’abstention citoyenne doit être massive !

 

A quelques jours de l’élection européenne, le Comité Valmy rappelle son communiqué de janvier 2010 qui souligne que l’UE est une dictature, qu’elle est non réformable et intrinsèquement perverse. Le Comité Valmy s’est à nouveau majoritairement prononcé pour une abstention militante, un boycott citoyen, le 25 mai 2014, au simulacre d’élection européenne.

 

Cette Europe détruit la souveraineté des peuples et des nations.

 

Elle est foncièrement illégitime.

Le rejet populaire de cette prison des peuples est devenu majoritaire, en particulier en France. Le caractère massif de l’abstention à cette élection-illusion marquera une étape significative sur le chemin du rétablissement dans notre pays, de la souveraineté populaire, de l’indépendance nationale et de la démocratie qu’elles conditionnent.



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L’Union Européenne ne sera jamais sociale ni même démocratique car elle assure la dictature du capitalisme financier mondialisé, néolibéral et, de plus en plus barbare. Elle est vassale des dirigeants états-uniens, promoteurs du choc des civilisations, fauteurs de guerres qui à travers l’OTAN, entendent toujours plus entraîner la France et les autres pays européens, dans leur politique permanente d’agression et de guerre.

 

Antidémocratique, l’Union Européenne développe progressivement une dictature qui devient de plus en plus manifeste. En permanence, l’appareil supranational euro-atlantiste utilise méthodiquement, dans sa guerre idéologique, la manipulation, politique et culturelle des peuples, notamment à travers la propagande multiforme de tous les grands médias que cette oligarchie financière contrôle et qui diffusent la pensée unique.

 

Cette guerre idéologique globale répand la confusion, la résignation et la pédagogie du renoncement à la lutte politique ou sociale. L’Europe fédérale des Länder est une prison des peuples privés de leurs souverainetés.


Il est nécessaire de sortir de ce carcan et de lutter en prenant exemple sur la Résistance, sur le CNR et sur son programme progressiste, républicain, patriotique et anti-impérialiste.

 

Vive l’indépendance nationale, l’amitié et la solidarité entre les peuples !

 

UNION DU PEUPLE DE FRANCE :

Inspirons-nous de l’union et de l’esprit de la Résistance, de celui du CNR et de son programme républicain, patriotique, laïque, anti-impérialiste et de progrès social.


POUR S’EN SORTIR, IL FAUT EN SORTIR


Comité Valmy janvier 2010


vOIR NOTRE Dossier Europe

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2 mai 2014 5 02 /05 /mai /2014 11:43

Internationalnews

 

Breitbar May 1 2014

 

 

In a crass and ill-timed intervention, the unelected president of the European Council Herman Van Rompuy has warned Vladimir Putin that the EU intends ultimately to control every country on the western flank of Russia.

 

In an interview with De Standaard newspaper, Van Rompuy speaks about his “dreams” that all the Balkan states will join the EU. He calls it an “inspiring thought” that in the long term “the whole of European territory outside Russia” will be tied in some way to the EU.


He admits he does not know if there is public support for such a move, “But we do it anyway.”

Van Rompuy’s comments, released in the midst of the tensions which have followed moves by Brussels to put Ukraine on the path to EU membership, give credence to Putin’s fears that ultimately the EU intends to put its tanks on Russia’s lawn.


Building a common EU defence is one of the strategic priorities for the Brussels elite who are trying to build “a country called Europe.”


Most people in Britain are unaware of it, but a commitment by Britain and the other member states to common foreign, security and defence policies was written into the Maastricht Treaty of 1992.


In recent years the EU has deepened the integration of the military forces of member states with the framing of the Common Security and Defence Policy.


German Chancellor Angela Merkel and French President Francois Hollande are the leading voices for a common defence force for the EU.


In 2008, a report by a respected Dutch think tank warned that the EU is pursuing a secretive “military space policy.” It accused the EU of using the cover of the European Space Agency to develop technologies such as the Galileo satellite system for use by military as well as civilian. authorities.


Last July, Martin Schulz, the German socialist President of the European Parliament who is now one of the top candidates to be the next president of the European Commission, said: “We need a headquarters for civil and military missions in Brussels and deployable troops.”

At the same time the European Commission proposed that it should “own and operate” its own surveillance drones.


Last December at a European Council meeting, member states agreed to “deepen defence cooperation.” At a press conference afterwards, David Cameron insisted Britain would block EU institutions from owning and operating their own military assets.


However, the fact is there is nothing Britain can do to stop a group of EU member states from creating their own “intergovernmental” defence force and asking the EU to administer it.


Now in this latest interview, Van Rompuy has said Brussels intends in effect to create an EU national border from the Arctic Circle to the Turkish border with Iraq.


This could threaten Russia’s historic, trade and political ties with Eastern Europe, so it is unlikely Russians will believe Van Rompuy when he insists the EU does not intend to create a “geopolitical shift.”


As long ago as 2007, José Manuel Barroso, the Portuguese former Maoist who is the president of the European Commission, said he liked to compare the EU “to the organisation of an empire.” He said “We have the dimension of an empire. I believe it is a great construction.”


Van Rompuy’s interview makes it clear that the EU elite intend for the empire to go right to the edge of the Russian Motherland.



In reply to Van Rompuy’s interview, a spokesman for the Foreign and Commonwealth Office said: “Europe’s diversity means a one-size-fits-all Europe will not work. You cannot impose a federal, close-knit union on such a varied group of states. There is not the political will to do so.”


“Only 31 per cent of the people across the European Union have a positive view of the EU. Two-thirds believe their voice does not count in the EU. This is not the voice of people who think a ‘United States of Europe’ is the answer to their problems. You have to treat Europe like a network not like a bloc.”


UKIP deputy leader Paul Nuttall said Van Rompuy’s words “demonstrate the frightening expansionist mentality of federalist fanatics.” He said Van Rompuy “does show a rare glimpse of honesty when he admits that the EU’s desire to expand comes without any public approval.”

Vladimir Chizhov, Russian ambassador to the EU, and Douglas Alexander, Labour’s Shadow Foreign Secretary, were both unavailable for comment.

 

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