14 décembre 2008 7 14 /12 /décembre /2008 09:41


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14 décembre 2008 7 14 /12 /décembre /2008 09:40

Dietrich Fischer-Dieskau sings the lied "erl-king" by Schubert.

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27 novembre 2008 4 27 /11 /novembre /2008 16:11
Extrait de l'emission "Musique au coeur" (une emission qui a été rediffusée le 27 novembre 2007 en hommage à Maurice Béjart), Michaël Denard danse L'oiseau de Feu, un ballet de Maurice Béjart
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22 novembre 2008 6 22 /11 /novembre /2008 16:13
Kalla31


Maurice Béjart nous a quitté il y a deux ans.

Un ballet de Maurice Béjart créé en 1959. Ce film date de 1970. Les deux élus du sacre sont interprétés par Tania Bari et Germinal Casado.

Partie 1

Partie 2


Partie3

Partie 4
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26 octobre 2008 7 26 /10 /octobre /2008 20:24
Dinu Lipatti - Scarlatti sonata k9
More information about Dinu Lipatti you can find on http://www.lipatti-haskil-f...



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14 octobre 2008 2 14 /10 /octobre /2008 11:03

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14 juillet 2008 1 14 /07 /juillet /2008 23:07
"Tempête sur la pointe de Bretagne - des très belles images signées Jean René Keruzoé
NB: Mais pourquoi ce Requiem de Mozart ?"


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10 juin 2008 2 10 /06 /juin /2008 05:16

Pink Floyd : Atom Heart Mother Pt 1 : "Fathers Shout"




From: WishSongs


A New Project. I've decided to start one I've been wanting to do but never had the time.

I love Digital art... and when I find a site that features it I look. The best one I've seen is DigitalBlasphemy.com

All images used in this series are from DigitalBlasphemy.com and are the creations of RYAN BLISS.

Pink Floyd to me is the greatest all around rock band ever. Most people today don't realize they were making music LONG BEFORE Dark Side Of The Moon. Their most innovative and compelling works are pre 1973 and going back into the early 60's.

Atom Heart Mother is my favorite Pink Floyd album. Yes the one with the COWS on the cover :) (Gee were they trying to tell you something?? Shrooms)

Since the title track is 23 minutes long.. I obviously have to do this in parts. I am getting away from using girls for the slides in this one because they just don't fit with this music.

So here is Part Two
"Atom Heart Mother"
'Breast Milky' (act 2)

*** ALL PHOTOS AND ANIMATIONS USED ARE COPYRIGHT BY RYAN BLISS OF DIGITAL BLASPHEMY.

I HAVE BEEN A SUPPORTING MEMBER FOR OVER 5 YEARS NOW. ALL IMAGES ARE COMPUTER GENERATED USING VARIOUS SOFTWARE PROGRAMS. I ENCOURAGE ALL THAT WATCH THIS VIDEO TO VISIT HIS SITE DIGITALBLASPHEMY.COM TO SEE THIS MANS INCREDIBLE ASSORTMENT OF IMAGES.


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30 mai 2008 5 30 /05 /mai /2008 01:40
Site du Louvre

Télécharger
brochure Louvre enseignants 2007-08



La plus ancienne référence textuelle évoquant Babylone remonte à l’époque des dynasties archaïques de Sumer ; en akkadien ancien, le gouverneur d’un lieu appelé Bar-bar (retranscription phonétique de Ba(b)bar ou Ba(b)bal, probable écriture ancienne de Babylone) se décrit comme le constructeur du temple du dieu Marduk. Vers 2500 avant J.-C., il existait donc vraisemblablement une ville, siège d’une principauté, peuplée par des Akkadiens ; nous n’en savons pas plus, puisque ces niveaux anciens de Babylone sont inaccessibles aux fouilles archéologiques. Ce temple dont il est question était probablement situé sur la rive Est, la rive gauche de l’Euphrate, lieu des ruines actuelles ; c’est là que furent retrouvés les vestiges d’Esagil (le temple de Marduk) de l’époque néo-babylonienne ; la localisation privilégiée d’Esagil et le poids de la tradition permettent de penser que ce premier temple de Marduk devait se trouver en dessous ou tout proche.



Le nom de Babylone apparaît trois cents ans plus tard, sur une tablette d’argile, écrit par les idéogrammes sumériens KÁ.DINGIR.KI, à lire en akkadien : bāb-ilu ou bāb-ilim : ce qui signifie « Porte de dieu/des dieux ». Dans ce document, il est question de la construction de deux temples à Babylone, temples jumeaux, faisant partie d’un même ensemble, dédiés à deux divinités guerrières, Anunîtum fille du dieu-Lune, et le dieu akkadien Il-aba : « Année dans laquelle Sharkalisharri posa les fondations du temple d’Anunîtum et du temple d’Il-Aba, à Babylone... ».


Babylone Secrete envoyé par Pitek-sama le 23  mai 2008
(IN:la seule vidéo sur Babylone qui n'aie pas disparu d'Internet...)

Cent ans après, à l’époque de la IIIe Dynastie d’Ur (l’empire sumérien d’Ur III) –entre 2100 et 2000 avant J.-C. environ-, nos informations sur la ville deviennent plus nombreuses sans être cependant très abondantes. Des documents administratifs mentionnent Babylone, siège d’un gouverneur de l’empire d’Ur ; les fonctionnaires portent des noms akkadiens et appartiennent à l’aristocratie locale. Capitale provinciale, Babylone verse des offrandes au temple de Nippur, le sanctuaire fédéral de Sumer, dédié au dieu Enlil, le roi des dieux.

Après la chute d’Ur, on ne connaît presque rien de Babylone pendant cent ans (de 2000 et 1890 avant J.C.). La situation politique en Mésopotamie, à la fin du XXe siècle avant J.C., est marquée par un affaiblissement de la force et des influences politiques de la dynastie d’Isin ; certains chefs de tribus amorrites sédentarisées tirent avantage de la situation et se saisissent des villes de la Babylonie du nord ; le chef de l’un de ces groupes, Sumu-la-El, prend possession de Babylone en -1894 ; c’est probablement son successeur , qui fonda, vers -1880, la première dynastie de Babylone.

Les grands souverains d’Akkad, Sargon et Naram-Sin, son petit-fils, allaient rester les modèles ultérieurs du roi héroïque. La représentation de Naram-Sin, à la tête de ses troupes, lors de sa victoire contre les montagnards du Zagros sur sa stèle de victoire, inspira l’attitude et le costume militaire des souverains conquérants ultérieurs : un vêtement court avec un long pan tombant. Les stèles de victoire royales paléo-babyloniennes sont inspirées de l’héroïsme de l’Empire d’Akkad et la position des bras et des armes du roi d’Akkad est la même que celles du roi héros guerrier représenté sur les sceaux paléo-babyloniens.

L’iconographie du roi dans l’exercice de ses fonctions officielles remonte à l’époque de la renaissance sumérienne de la IIIe dynastie d’Ur. Si l’attitude de respect et d’attention à la divinité existe de toute antiquité, le vêtement long et drapé, ouvert sur le devant et laissant l’épaule gauche découverte, fut imposé dans l’iconographie royale à la fin du IIIe millénaire. Il est porté par le prince Gudéa de Lagash (vers 2120 avant J—C.) , qui fut un modèle du souverain sage et pacifique. Le souverain porte sur la tête une sorte de bonnet à large bandeau, posé bas sur le front. Ce costume – manteau long et couvre-chef - caractérise la pérennité de la fonction royale mésopotamienne.

D’autres modèles relèvent de l’iconographie sumérienne liée à une fonction royale essentielle : celle du roi bâtisseur et l’on peut y voir l’origine du motif des insignes du pouvoir : le bâton et le cercle qui occupe le centre du bas-relief figuré au sommet du « Code de Hammurabi ». A la fin du IIIe millénaire, Gudea porte, comme des éléments essentiels de la cérémonie de fondation des temples, un piquet de bois et une corde d’arpentage enroulée.

Ces mêmes instruments sont transmis au roi par la divinité - dans une iconographie dont s’inspirera le sculpteur de la scène figurée au sommet du code de Hammurabi -, sur une grande stèle de calcaire, érigée par un roi de la troisième dynastie d’Ur. On y voit le dieu d’Ur, la Lune: Nanna/Sin, assis sur son trône, portant dans la main gauche un instrument utilisé pour creuser la terre lors des fondations, une sorte de houe ou d’herminette. Il tient, dans la main droite, un bâton ou piquet et une corde serrée et enroulée formant un cercle. Il tend ces instruments au roi, reconnaissable à son bonnet et à au vêtement, représenté en train de faire une libation. La barbe longue apparaît alors comme signe distinctif du pouvoir. Le roi Ur-Namma, le fondateur de l’empire d’Ur III, le dernier royaume sumérien, et qui est très probablement le souverain qui a dédié cette stèle où il est représenté lors de la construction du temple et de la ziqqurat d’Ur, fut l'auteur du plus ancien "Code", ou grand recueil juridique connu, préfigurant donc de plus de deux cents ans celui de Hammurabi.

Sur le sommet d’une stèle cintrée, en calcaire, dont le traitement stylistique et iconographique permettent de dater la sculpture de la fin du IIIe ou du tout début du IIe millénaire, la scène conservée est de nature semblable à celle qui est figurée sur la stèle d’Ur-Namma d’Ur, qui dépeint le roi versant une libation devant un dieu assis ; la plante arrosée est un palmier ; le dieu est vraisemblablement le dieu-Soleil dont le disque radié domine la scène. Il tient le bâton et le cercle, mais il ne s’agit plus d’une représentation réaliste d’un piquet et d’une corde mais une baguette et un cercle, un anneau, tels qu’ils sont représentés au sommet du Code, en tant qu’insignes du pouvoir. Le rituel de libation évoque le roi dans son rôle de garant du maintien de la fertilité du pays. La composition générale de la scène, proche de celle qui orne le sommet du Code de Hammurabi, et l’association du roi et du Soleil, suggèrent qu’il pourrait s’agir d’un monument en relation avec l’administration de la justice, tel un modèle iconographique et peut-être littéraire pour la stèle des lois de Hammurabi.

suite: http://mini-site.louvre.fr/babylone/FR/html/1.4.9.html

Informations pratiques
Lieu

Hall Napoléon

Horaires

Ouvert tous les jours, de 9 h à 18 h, sauf le mardi.
Nocturnes jusqu’à 22 h les mercredi et vendredi.
Nocturnes exceptionnelles jusqu'à 20 h le samedi.

DERNIERS JOURS : nocturnes supplémentaires du jeudi 22 mai au dimanche 1er juin, jusqu'à 22 h, sauf le jeudi 29 mai.


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24 mai 2008 6 24 /05 /mai /2008 15:25

Du 15 avril au 20 juillet 2008 au musée Rodin
77, Rue Varenne 75007 Paris 01 44 18 61 10
http://www.musee-rodin.fr/


Le musée Rodin
consacre
une rétrospective
exceptionnelle
à Camille Claudel





Source: http://www.musee-rodin.fr

(IN : A l’âge de 48 ans, au décès de son père en 1913, sa famille bourgoise, gênée par la vie de marginale de Camille, décida de la faire interner. Elle passa les 30 dernières années de sa vie à l’asile d’aliénés de Montdevergues, où elle fut très malheureuse, sans matériel pour poursuivre son oeuvre, sans visites et dans la misère.)

L'exposition rassemble l’essentiel de l’œuvre de l’artiste avec plus de quatre-vingt sculptures en marbre, terre cuite, plâtre, onyx et bronze, ainsi qu’une dizaine de gravures et dessins provenant de collections publiques et privées. Certains documents, comme la correspondance de Rodin et Camille Claudel et des photographies d’époque, complètent cet ensemble.

Cette rétrospective éclaire d’un jour nouveau le parcours artistique ponctué de chefs-d’œuvre d’une artiste aujourd’hui plus connue pour sa vie privée que pour ses propres créations. Après avoir été longtemps jugé en référence à Rodin, l’art de Camille Claudel apparaît profondément original, intense et rayonnant.

Source: internet-normandie.eu


Cette exposition a pour ambition d’appréhender l’œuvre de cette insoumise en dehors de la passion qui l’unit à Rodin. Le maître a certes inspiré l’élève, mais l’inverse est également vrai, à tel point qu’il est parfois difficile de déterminer le travail de chacun d’eux.



L’exposition permet de découvrir ou de redécouvrir les œuvres qui ont fait la renommée du sculpteur : La Valse où un couple de danseurs passionnément enlacés semble emporté par un tourbillon ; L’Âge mûr, œuvre autobiographique symbole de sa rupture avec Rodin ; La Vague ou Les Causeuses, exemples représentatifs de sculptures où Camille Claudel s’affranchit du maître pour réaliser des œuvres plus personnelles, fortement influencées par les arts décoratifs et le japonisme.


L'implorante- Source: interencheres.com

 

Au sommaire du catalogue:


Camille Claudel : la vague, par Pablo Jiménez Burillo
« Une révolte de la nature » Camille Claudel (1864-1943), par Anne Rivière
Camille Claudel dans l'art de son temps, par Bruno Gaudichon
À l'ombre des grands arbres... par Aline Magnien
Derrière le mythe de Camille Claudel : la construction d'une image, par María López Fernández 
Intellectualité et sexualité : Camille Claudel, femme sculpteur fin de siècle, par Claudine Mittchell
Camille Claudel/Auguste Rodin. Une histoire en pièces, par Véronique Mattiussi
   
Catalogue
   
Mademoiselle Camille Claudel, par Mathias Morhardt (1898)
Camille Claudel statuaire, par Paul Claudel (1905)
Ma sœur Camille, par Paul Claudel (1951)
   
Documentation
Chronologie
Orientation bibliographique
Liste des œuvres
     

 

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