6 janvier 2011 4 06 /01 /janvier /2011 23:09

 


«Bien souvent, c’est la famille qui souhaite être libérée» (PR Bernard Keating.) Dans les rares pays ayant fait le grand saut, comme les Pays-Bas et la Belgique, on constate des dérapages qui se traduisent par des euthanasies pratiquées sans consentement, notamment sur des nouveaux-nés de néonatalogie, des patients comateux et des patients de psychogériatrie et de psychiatrie, a rappelé Danielle Blondeau, professeure à la Faculté des sciences infirmières. Les conséquences de la légalisation de l’euthanasie sont lourdes. Dans cette foulée, il est impératif d’éduquer non seulement la population, mais tous les professionnels de la santé sur les possibilités méconnues des soins palliatifs dont le but est d’améliorer la souffrance et la qualité de vie des patients. «Il faut savoir faire la distinction entre l’euthanasie, la cessation de traitement et le suicide assisté. On doit enfin garder à l’esprit les valeurs qui fondent notre système de santé et de services sociaux, soit la solidarité et la compassion.» Extrait de: http://www.aufil.ulaval.ca/articles/mort-dans-tous-ses-etats-24051.html


Débat du 20 janvier 2011

La loi Leonetti du 22 avril 2005 - Société - Nouvelobs.com

 


Assistance au suicide ou réduction des populations encombrantes?

 

Euthanasie et Nouvel Ordre Mondial : vers une assistance légale à mourir généralisée ?

 

Soleil Vert (Soylent Green) Version française


Soylent green is people (Soleil vert) Full Film, 1h36

 

Des "prédispositions génétiques" à la tentation de l'eugénisme Par Jacques Testard

 

Jacques Testard : Manipulations génétiques: vers l'eugénisme

 

L'Eugénisme: de Darwin aux Nazis, en passant par les USA (52')

 

DNA databases prelude to return of eugenics?

 

Meilleur des monde: un code-barre pour identifier les embryons

 

Une clinique de bébés sur mesure en Californie 

 

US doctor offers British couples "designer babies"

 

Brave New World:Bush signs Bill to Take all Newborns’DNA

 

Procréer sans limites (documentaire)

 

"1984"/"Le Meilleur des Mondes": Petit parallèle entre deux utopies complémentaires par François Brune

 

Le meilleur des mondes (Film d'après Aldous Huxley, version française)

 

L'Utérus artificiel, livre d'Henri Atlan


Huxley Brave New World/Le Meilleur des Mondes - A. Jones (video VOSTF, 3')

 

La vision orwellienne du monde de Jacques Attali (vidéo)

(A 6' 30, passage sur l'euthanasie...)


Jacques ATTALI: Dès qu’il dépasse 60/65 ans, l’homme vit plus longtemps qu’il ne produit et il coûte alors cher à la société ; il est bien préférable que la machine humaine s’arrête brutalement, plutôt qu’elle ne se détériore progressivement.’ 
 
‘On pourrait accepter l’idée d’allongement de l’espérance de vie à condition de rendre les vieux solvables et de créer ainsi un marché.’ 
 
‘Je crois que dans la logique même du système industriel dans lequel nous nous trouvons, l’allongement de la durée de la vie n’est plus un objectif souhaité par la logique du pouvoir.’ 
 
‘L’euthanasie sera un des instruments essentiels de nos sociétés futures dans tous les cas de figure. Dans une logique socialiste, pour commencer, le problème se pose comme suit : la logique socialiste c’est la liberté, et la liberté fondamentale c’est le suicide ; en conséquence, le droit au suicide direct ou indirect est donc une valeur absolue dans ce type de société.’ 
 
‘L’euthanasie deviendra un instrument essentiel de gouvernement.’ 
 
Extraits de son livre L’homme nomade , Ed. Le Livre de Poche, 2005 
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27 décembre 2010 1 27 /12 /décembre /2010 19:54

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Investig'Action 16 décembre 2010

Par Hervé Le Crosnier

Des chercheurs catalans ont publié en novembre leurs travaux : comment introduire un « code-à-barres » (sic) dans les cellules d’un embryon. Cette analyse cherche à débusquer ce qui crée un nouveau risque moral, éthique, déontologique, et même scientifique pour une société qui non seulement accepte, mais aussi promeut ce type de pratiques.

Irons-nous vers le règne des « bébé–design », quand les parents vont « choisir sur mesure » les caractéristiques de leur progéniture?

Ou saurons-nous résister à cette forme biopolitique de domination?

 

Le Comité Consultatif National d’Éthique pour les Sciences de la Vie et de la Santé vient de publier un rapport sur les recherches portant sur les cellules souches[1]. Cela occupe largement les médias. On trouve dans ce texte des rappels importants sur les règles éthiques qui peuvent être transposées dans des Lois afin de permettre aux sociétés de conduire des politiques scientifiques en adéquation avec les conceptions partagées de ce que signifie l’être humain.

 

Certes, des différences, voire des divergences existent, et ce débat sur les « cellules souches » est aussi, en sens inverse, une façon pour les chercheurs en bio-médecine de faire évoluer les normes éthiques, ce qui conduit aussi à une meilleure compréhension des activités humaines mettant en jeu les notions de vie et de personne.

 

C’est un processus dialectique entre la recherche et la société qui prend du temps, mais qui permet d’éviter que des travaux en science ou ingénierie du vivant ne poussent à des transformations de notre conception même de l’humanité sans que les sociétés ne puissent dire leur mot, avec toutes les contradictions et les opinions qui forment les approches du monde. Or certaines recherches en ingénierie de la reproduction humaine me semblent imposer des changements radicaux sans que l’on prenne le temps de réfléchir aux conséquences.

 

Ainsi en va-t-il d’une recherche publiée le 18 novembre, qui n’a, à mon sens, pas recueilli toute l’attention nécessaire : des chercheurs catalans ont implémenté des codes-à-barre à l’intérieur des cellules d’embryons de souris et s’apprêtent à reproduire l’expérience sur des embryons humains[2].

L’ordre des choses et l’ingénierie du vivant

De toutes les règles qui semblent partagées par les différentes approches du débat éthique autour de l’embryon, il en est une qui semble commune : l’embryon n’est pas une « chose » comme les autres.

 

En termes éthiques, « éviter toute réification de l’embryon » :

« Il serait tout aussi excessif de considérer l’embryon en phase pré-implantatoire comme un simple amas de cellules d’origine humaine que de le sacraliser en tant que personne humaine en puissance. La notion de « processus embryonnaire en cours » témoignerait peut-être de l’énigme qui entoure la nature exacte de l’embryon aux premiers stades de sa vie. Quoi qu’il en soit, et en raison même de cette énigme, le Comité affirme son attachement à l’idée selon laquelle l’embryon humain doit, dès sa formation, bénéficier du respect lié à sa qualité. »

 

Avis No 67 du 18 janvier 2001 sur l’avant-projet de révision des lois de bioéthique.

Cette approche interdit par exemple la marchandisation de l’embryon. Elle interdit aussi les travaux sur des embryons qui ne seraient fabriqués qu’afin de servir d’objets de laboratoire. Une interdiction confirmée par la Convention d’Oviedo[3] : « La constitution d’embryons humains aux fins de recherche est interdite ».

 

On peut pour autant s’interroger sur la finalité de certaines recherches en ingénierie de la fécondation : ont-elles réellement des buts thérapeutiques, et ne nécessitent-elles pas la mise à disposition d’embryons humains à simple fins de recherche ? Un interrogation que soulève par exemple une recherche menée à l’Université Autonome de Barcelone (Universitat Autònoma de Barcelona).

 

Une recherche aux conséquences dévastatrices, publiée le 18 novembre 2010 par le journal « Human reproduction » : A novel embryo identification system by direct tagging of mouse embryos using silicon-based barcodes[4]. Il s’agit d’une recherche commune à des biologistes (Département de Biologie cellulaire, de physiologie et d’immunologie de l’UAB) et des chercheurs de l’Institut de microélectronique de Barcelone, visant à implanter dans chaque cellule d’un embryon un dispositif en silicium pouvant faire office de « code-à-barre », selon les termes mêmes employés par les chercheurs dans le titre de leur article.

 

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C’est l’Université Autonome elle-même qui assure la publicité de l’article en publiant une note sur son site web[5]. Une version grand public de la recherche qui sera très largement reprise dans les sites anglo-saxons (une recherche sur Google au 5/12/2010 permet de constater que les cinq premières pages sont occupées par des sites qui reprennent en l’état le communiqué de presse).

 

Il y aurait beaucoup à dire sur cette nouvelle manière de valoriser les recherches par des communiqués de presse provenant des universités, mais aussi sur la servilité de ce web que l’on dit ouvert à toutes les plumes, mais qui pour l’essentiel ne prend pas le temps de l’analyse. En effet, tous ces sites ne font que reprendre le communiqué sans commenter, sans s’interroger, sans applaudir ni s’indigner… Une pauvreté de la critique scientifique[6] qui nous laisse désarmés.

 

La recherche autour de cette technique d’implantation a été menée sur des embryons de souris. L’équipe des biologistes a réalisé une micro-injection du code-à-barres en silicium mis au point par les électroniciens. Celui-ci est lisible sous microscope. Introduit dans l’espace périvitellin, qui est compris entre la zone pellucide et la membrane plasmatique de l’ovocyte, le dispositif doit disparaître une fois l’embryon implanté dans l’utérus… Ce que réussit l’expérience, à quelques exceptions près.

 

embryon_codes_a_barre2

 

Un nouvel exploit de la technique biologique et microélectronique… Mais l’objectif de cette recherche mérite qu’on s’arrête un instant. À l’heure actuelle, les embryons récoltés ou congelés, sont identifiés sur les éprouvettes elle-mêmes. Les vérifications, par double contrôle humain, sont donc plus longues et minutieuses, les contenus étant régulièrement changés de récipients durant l’Assistance Médicale à la Procréation. Pour les auteurs de l’article, il s’agit d’accélérer et de sécuriser le processus, ce qui d’après le site du transhumaniste Raymond Kurzveil (un des seuls à ajouter de courtes remarques au texte de l’Université[7]) devrait permettre de meilleurs taux de succès des fécondations in vitro (FIV)…

Or nous ne pouvons être naïfs à ce point.

Ces changements dans la procédure de l’Assistance Médicale à la Procréation ne sont pas seulement des « garanties » de suivi de l’embryon… Le terme même de code-à-barres utilisé par les chercheurs renvoie à la logique de « marchandise » qui menace toute la filière de la FIV. Accélérer les processus pour leur assurer une meilleure réussite serait effectivement un progrès…

 

Mais pourquoi, au delà des embryons destinés à la réimplantation immédiate, tester la méthode sur des embryons congelés ? Parce que congelés, ces derniers pourraient s’échanger entre cliniques, devenir matière première, certifiée directement dans l’embryon, et pas seulement sur l’emballage.

 

Nous n’en sommes qu’au stade de l’expérience sur les embryons de souris, mais la même équipe de chercheurs vient d’obtenir l’autorisation du Ministère de la Santé du Gouvernement de la Catalogne pour passer à l’expérimentation sur des embryons humains. Or compte-tenu du projet, une telle recherche va-t-elle devoir outrepasser la règle éthique d’un usage des seuls embryons « surnuméraires », c’est-à-dire restant après une opération de fécondation à visée reproductive ?

 

Les embryons seraient alors des « objets de laboratoire ». On peut aussi contester le fait que cette recherche corresponde à un objectif thérapeutique. Ce serait trop naïf de prendre pour argent comptant les déclarations portant sur l’amélioration du processus de la FIV… Les codes-à-barres induisent une tout autre approche que l’aide aux coupes infertiles. Or ce sont justement ces dérives que cherche à éviter le CCNE :

« Traiter l’embryon humain seulement comme un moyen d’expérimentation, c’est prendre pratiquement parti sur son être en l’intégrant à l’ordre des choses.

 

Dans son Avis No 8 relatif aux recherches et utilisation des embryons humains in vitro à des fins médicales et scientifiques, le CCNE indiquait : “On ne doit pas procéder, même avec le consentement des géniteurs, à des fécondations en vue de la recherche. Elles conduiraient à faire des embryons humains de simples moyens ou de purs objets.” »

Rapport CCNE No 118, p. 52.


Ce pas supplémentaire vers la marchandisation des embryons, codés, estampillés, reconnus, héritant de tel ou tel trait génétique… est dans la pleine logique de ce qu’est en train de devenir la fécondation in vitro.

 

La dérive des cliniques de la fertilité

Nous sommes en effet en train de passer d’une méthode permettant aux couples stériles d’avoir une descendance, à celle d’une FIV « choisie », destinée à éviter le hasard inhérent à la reproduction. Les cliniques spécialisées états-uniennes vantent leur approche tout azimuth :

 

« Davis Fertility Center, Inc. Nous sommes une clinique spécialisée dans les traitement de l’infertilité pour les hommes et pour les femmes. Nos services comprennent la fécondation in vitro, la gestion du don d’oeufs et d’ovocytes, le Diagnostic génétique préimplantatoire, la congélation d’embryons, la Fécondation In Vitro avec microinjection intracytoplasmique de spermatozoïde (ICSI), et le libre-choix du sexe (fille ou garçon)[8]. 

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Nous entrons dans une période où les plus riches sur la planète vont avoir recours aux cliniques pour choisir les caractéristiques de leur descendance. On commence à parler de « bébé-design » (designer babies). Le diagnostic génétique pré-implantatoire est un test réalisé sur un embryon de 3 jours, alors qu’il dispose de six cellules. Il doit permettre de repérer des maladies génétiques graves avant l’implantation. Or l’accélération des traitements techniques, l’usage de l’informatique, les connaissances statistiques des liens entre les zones de l’ADN et les traits physiques (couleurs des yeux, des cheveux, taille,…) permettent l’usage du test bien au delà, notamment pour choisir le sexe, et bientôt d’autres caractères.

 

La sélection du sexe est autorisée aux États-Unis, et nombreuses sont les cliniques qui la proposent. Ainsi, une enquête de 2006 menée par le John Hopkins Hospital montre que près de la moitié des cliniques pratiquant le diagnostic rendent possible le choix du sexe. Plus loin encore, 3 % de ces cliniques accéderaient à des demandes des parents, par exemple pour que l’enfant d’un couple de sourds soit lui aussi atteint de cette infirmité, soi-disant afin de mieux partager la culture et les pratiques de ses parents. C’est tout un secteur que l’on peut difficilement appeler « médical » qui se développe autour des cliniques de la fertilité.

 

Une étude de 2007 menée par la New York University School of Medicine et publiée dans la revue« Journal of Genetic Counseling » voudrait distinguer les propositions commerciales des cliniques, souvent reprises par les journaux des attentes du public. Leur conclusion est plutôt optimiste : « Une grande majorité des personnes ayant répondu à notre enquête sont favorables à des testgénétiques complémentaires pour dépister des maladies, mais pas pour des améliorations. Il ne semble pas que l’heure des “bébé-design” soit proche »[9]. Pourtant, cet optimisme pourrait être contrebalancé par les conditions même de l’étude. Il s’agit de questionnaires posés à des patients du NYU Human Genetics Program for prenatal genetic counseling avant leur entretien. Or seules 45 % des personnes ont répondu.

 

Ajoutons que l’on répond rarement à une enquête par des positions qui ne sont pas socialement acceptées. La moitié des 999 répondants refusent tout test génétique. Et malgré tout, s’ils ne sont pas majoritaires, 10 % des répondants accepteraient de faire des tests pour augmenter les compétences athlétiques ; 12,6 % pour obtenir une intelligence supérieure ; 10,4 % pour une haute taille et 9,2 % pour améliorer la longévité.

 

Des chiffres que pour ma part je trouve non négligeables, d’autant qu’il faut les doubler pour les rapporter au nombre de répondants souhaitant des tests génétiques. On peut aussi en conclure qu’il existe bel et bien un réel « marché de niche » alimenté par les fantasmes d’une part non négligeable des personnes souhaitant des contrôles génétiques sur leur descendance. Et comme tout marché de niche, celui-ci est « poussé par la technologie ». Il se développera en fonction de l’offre émanant des cliniques, ce qui en spirale renforcera l’acceptabilité sociale de ce nouvel eugénisme…

 

Le choix de mener un certain type de recherches orientées vers cette figure d’un « homme augmenté » va accélérer cette spirale. Il existe des formes de collusion entre cette marchandisation de la reproduction sélective par les cliniques et les « recherches » sur les techniques reproductives et la génétique des populations humaines. Ainsi, cet article publié en 2007 dans le journal Nature genetics qui décrit une méthode pour déterminer une corrélation entre le génome et la couleur des cheveux, des yeux ou la pigmentation de la peau[10]. Le chercheur se veut propre sur lui : « Je m’oppose avec véhémence à ce que mes travaux soient utilisés pour produire des enfants sur mesure »

 

Pourtant ce type de travaux inspire la clinique « The Fertility Institutes » qui annonce la possibilité prochaine de choisir la couleur des cheveux, des yeux… et plus encore ![11] Le Docteur Steinberg, qui dirige cette clinique déclare ainsi : « La sélection des traits est un service, et nous comptons l’offrir prochainement ».[12]

 

C’est aussi dans ce cadre que l’expérience des biologistes catalans prend tout son sens. Quand on aura réalisé de tels diagnostics pré-implantatoires sur des cellules embryonnaires contenant un « code-à-barres », on pourra aisément ouvrir une banque de données indiquant les traits repérés derrière cet identifiant unique… congeler l’embryon, et l’utiliser « à la demande ». Pourtant, tous ces chercheurs affirmeront avoir fait cela « pour la science », en toute « indépendance scientifique ». Ils auront reçu des financements et des autorisations.

 

On peut même prévoir que les informaticiens qui écriront les algorithmes d’exploitation des banques de données à venir permettant de faire coïncider les désirs des parents, leur propre morphologie, et les caractéristiques des embryons disponibles sur le marché ne seront intéressés que par le challenge technique que cela représente.

 

Politique du fait accompli

Il est temps que les sociétés civiles s’interrogent sur les choix politiques des recherches qui sont engagées, sans laisser aux marchés, qui s’appuient sur les fantasmes morbides de quelques privilégiés, le soin de parasiter au nom de leurs intérêts immédiats, les réflexions éthiques et politiques sur les règles communes dont notre société a besoin.

 

Car une fois qu’une technique existe, qu’un marché de niche pour couples fortunés l’ancre dans la sphère économique, alors les dérives vont en s’accélérant, au point qu’il est parfois trop tard pour réfléchir. Le mythe des « bébés-design », même s’il y a encore loin de la coupe aux lèvres, en créant un nouveau marché pour le secteur des tests, mais aussi pour l’organisation d’un circuit économique de la procréation « augmentée » met en cause de nombreux considérants qui touchent au plus profond de notre conception anthropologique.

 

Un des symptômes de ce basculement en faveur d’une industrie du « bébé-design » peut se retrouver dans le choix fort peu innocent des jurés du Prix Nobel, qui ont accordé en 2010 le Prix de médecine et de physiologie à Robert G. Edwards. Celui-ci est le biologiste qui a permis la naissance de Louise Brown, première « bébé-éprouvette » née en 1978.

 

Cet exploit de l’ingénierie biologique a permis la naissance de 4 millions d’enfants pour des couples en demande depuis cette date. Cela mérite récompense, mais s’agit-il pour autant d’une découverte relevant de la Charte des prix Nobel ? Toutefois nous savons aussi que les prix Nobel ont souvent une claire dimension de politique scientifique.

 

Et celui-ci, qui intervient au moment où toutes les sociétés débattent des questions éthiques concernant les recherches sur l’embryon et les cellules souches, vise certainement à valider les propos parfois provocateurs de Robert Edwards, son choix de mettre la « science » et notamment celle de la fécondation, en dehors du regard des sociétés et des normes juridiques et politiques.

 

Dans un article d’orientation qu’il a publié en 1971 dans le journal Nature, il plaide pour le retrait de toute forme publique d’encadrement de la recherche, et conclut dans un grand élan scientiste : « Les scientifiques doivent aller au devant de l’opinion, faire du lobbying pour obtenir des lois et des règles, dans l’espoir que les attitudes majoritaires de la société, telles qu’elles se retrouvent dans les décisions légales, vont mûrir à un rythme qui ne serait pas trop en décalage avec la transition entre une recherche et ses applications techniques »[13].

 

Il existe un véritable dilemme pour le chercheur, entre suivre son propre choix et écouter les réticences sociales. La question devient de plus en plus pressante au fur et à mesure que s’estompe la frontière entre la recherche fondamentale et les applications, et plus encore dans les sciences de la vie, quand les enjeux finissent par porter sur la définition même de l’humain. Mais la religion scientiste ne saurait être une solution.

 

Si aujourd’hui le professeur Edwards est trop malade pour même se rendre compte qu’il a reçu le Prix Nobel[14], il déclarait en 1999 au Guardian[15] : « Bientôt, ce sera un péché des parents que d’avoir un enfant qui porte le lourd fardeau des maladies génétiques. Nous entrons dans un monde où nous devons prendre en compte la qualité de nos enfants ».

 

Or nous savons tous, socialement, dans quel délire collectif peut nous mener une telle conception eugénique du monde. Et c’est inquiétant que l’Académie Nobel puisse envoyer un tel message au moment même où les tenants du « bébédesign » et les marchands de la procréation non plus assistée mais clairement « contrôlée » tiennent le haut du pavé.

 

Détail intéressant, l’article des chercheurs catalans sur les codes-à-barres des embryons a été publié dans le journal Human Reproduction, un des journaux les plus renommés dans son domaine[16]. Un journal créé par Roberts Edwards…

 

Notes
  1. Comité Consultatif National d’Éthique pour les Sciences de la Vie et de la Santé. AVIS No 112Une réflexion éthique sur la recherche sur les cellules d’origine embryonnaire humaine, et la recherche sur l’embryon humain in vitro. [remonter]
  2. Merci à Dorothée Benoît-Browaeys de l’Association Vivagora de m’avoir signalé ces travaux. La vigilance associative sur les sciences et ingénieries du vivant est centrale dans la situation actuelle. [remonter]
  3. Convention pour la protection des Droits de l’Homme et de la dignité de l’être humain à l’égard des applications de la biologie et de la médecine : Convention sur les Droits de l’Homme et la biomédecine Oviedo, 4.IV.1997. [remonter]
  4. A novel embryo identification system by direct tagging of mouse embryos using silicon-based barcodesSergi Novo, Leonardo Barrios, Josep Santaló, Rodrigo Gómez-Martínez, Marta Duch, Jaume Esteve, José Antonio Plaza, Carme Nogués and Elena Ibáñez, Human Reproduction, 2010, DOI : 10.1093/humrep/deq309 (abstract). [remonter]
  5. Researchers insert identification codes into mouse embryos. [remonter]
  6. Le terme « critique scientifique » proposé par Jean-Marc Levy-Leblond etrepris par Jacques Testartme semble fort intéressant :« comme le critique d’art ou le critique littéraire, le critique de science, qui n’est absolument pas un ennemi des sciences, s’autorise à porter des jugements plutôt qu’applaudir religieusement toutes les productions de laboratoire ». [remonter]
  7. Scientists attach barcodes to mouse embryos — human ones coming soon, November 26, 2010. [remonter]
  8. http://californiaivf.blogspot.com/[remonter]
  9. Consumers’ Desire towards Current and Prospective Reproductive Genetic Testing, Feighanne Hathaway, Esther Burns and Harry Ostrer, Journal of Genetic Counseling Volume 18, Number 2, 137-146, DOI : 10.1007/s10897-008-9199-3 (abstract). [remonter]
  10. Genetic determinants of hair, eye and skin pigmentation in Europeans, Nature Genetics 39, 1443 – 1452 (2007), doi:10.1038/ng.2007.13 (abstract). [remonter]
  11. Remarque : le site ne permet plus d’atteindre le texte même de cette annonce… mais le moteur de recherche interne du site propose néanmoins cette réponse, dont il ne reste plus que le titre :« COMING : SELECT EYE COLOR, HAIR COLOR AND MORE – What’s New At the Fertility Institutes, we pride ourselves on the practice or Reproductive Medicine based on a solid foundation of science. Our commitment to providing… »(http://www.fertility-docs.com/news_events.phtml?ID=23) [remonter]
  12. Citations reprises depuis un article qui m’a beaucoup inspiré :A Baby, Please. Blond, Freckles — Hold the Colic, Gautam Naik, The Wall Street Journal, 12 février 2009. [remonter]
  13. Social Values and Research in Human Embryology, Robert G. Edwards & David J. Sharpe, Nature 231, 87-91 (14 May 1971) | DOI:10.1038/231087a0 (abstract). [remonter]
  14. Pioneer of in Vitro Fertilization Wins Nobel Prize, Nicholas Wade, The New York Times, 4 ocotbre 2010 [remonter]
  15. Une citationreprise dans le Guardian du 22 septembre 1999. [remonter]
  16. http://humrep.oxfordjournals.org/On trouvera des informations sur son facteur d’impact àhttp://www.oxfordjournals.org/our_journals/humrep/about.html. [remonter]

Source: http://www.michelcollon.info Article en PDF : Enregistrer au format PDF

Photo: Le Post

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Url de cet artcile: 

http://www.internationalnews.fr/article-meilleur-des-monde-un-code-barre-pour-identifier-les-embryons-63936437.html

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19 décembre 2010 7 19 /12 /décembre /2010 11:28

billederkloden-2di-20nvos-2dh-e5nd2

Barroso: European Union is 'empire' (short version)
Photo: euroomed
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18 décembre 2010 6 18 /12 /décembre /2010 15:25

http://danielsimpson.files.wordpress.com/2010/05/noam-chomsky.jpg

 

Dans une interview du 1er novembre 2010 sur Press TV, l'universitaire et intellectuel américain Noam Chomsky déclare que les USA n'ont jamais présenté de preuves de l'implication des auteurs présumés des attentats du 11-Septembre (à savoir Oussama ben Laden et ses prétendus complices d'al-Qaida). De ce fait, Chomsky questionne logiquement la légalité de la présence américaine et celle de l’OTAN en Afghanistan. Comme lui, nous pensons que la guerre en Afghanistan est un "acte criminel".

Il s'agit là d'une évolution notable dans la pensée de Noam Chomsky sur le 11-Septembre. Dans une précédente interview de 2006, il minimisait l’importance du 11-Septembre et jugeait vains et inutiles les efforts entrepris par ceux qui cherchent la vérité sur cette tragédie : http://www.dailymotion.com/video/xeoega

Pour en savoir plus sur l'absence de preuves sur la culpabilité de Ben Laden, nous vous recommandons l'article « Ben Laden inculpé par les Etats-Unis ... mais pas pour les attentats du 11 Septembre » : http://www.reopen911.info/points-11-septembre/1.html

A voir également : « Le Pouvoir des Cauchemars » ("The Power of Nightmares"), un documentaire produit par la BBC qui s’applique à démontrer qu’Al-Qaida n’existe pas et que l’idée d’une menace terroriste globale est un pur fantasme. Un documentaire édifiant qui explique comment et pourquoi ce fantasme fut créé, qui en bénéficie, et pourquoi il résiste si bien à l’épreuve du temps.

 


 
 

L'escalade de la politique de la terreur (The Power of Nightmares VOSTF), documentaire de la BBC - Partie I: Néoconservateurs et islamistes

Url de cet article: http://www.internationalnews.fr/article-am--61238329.html

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25 novembre 2010 4 25 /11 /novembre /2010 23:07

 http://www.genderandhealth.ca/en/modules/poverty/imageContent/JBUHX86N.jpg



InformationClearingHouse

November 26, 2010 "
AFP" - -GENEVA — The number of very poor countries has doubled in the last 30 to 40 years, while the number of people living in extreme poverty has also grown two-fold, a UN think-tank warned Thursday.

In its annual report on the 49 least developed countries (LDCs) in the world, the UN Conference on Trade and Development (UNCTAD) said that the model of development that has prevailed to date for these countries has failed and should be re-assessed.

"The traditional models that have been applied to LDCs that tend to move the LDCs in the direction of trade-related growth seem not to have done very well," said Supachai Panitchpakdi, secretary general of UNCTAD.

"What happened is that in the past 30-40 years, the number of LDCs have doubled so it has actually deteriorated, the number of people living under the poverty line has doubled from the 1980s."

The report indicated that the situation has sharply deteriorated in the past few years.


http://www.alternativenews.org/english/images/stories/news/2010/october_2010_/poverty.jpg

Poverty in Israel

 

GENEVA — The number of very poor countries has doubled in the last 30 to 40 years, while the number of people living in extreme poverty has also grown two-fold, a UN think-tank warned Thursday.

In its annual report on the 49 least developed countries (LDCs) in the world, the UN Conference on Trade and Development (UNCTAD) said that the model of development that has prevailed to date for these countries has failed and should be re-assessed.

"The traditional models that have been applied to LDCs that tend to move the LDCs in the direction of trade-related growth seem not to have done very well," said Supachai Panitchpakdi, secretary general of UNCTAD.

"What happened is that in the past 30-40 years, the number of LDCs have doubled so it has actually deteriorated, the number of people living under the poverty line has doubled from the 1980s."



The report indicated that the situation has sharply deteriorated in the past few years.

 

Source: http://www.informationclearinghouse.info

 

Photos: www.genderandhealth.ca, www.alternativenews.org

 

Url of this article: http://www.internationalnews.fr/article-global-poverty-doubled-since-1970s-un-61825441.html

 

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23 novembre 2010 2 23 /11 /novembre /2010 22:36
http://www.conspipedia.fr/wp-content/uploads/2010/11/pill.jpg
Mondialisation.ca, Le 19 novembre 2010


 

L’ère du micro-puçage pharmaceutique est maintenant devant nous. Novartis AG, l’une des plus importantes sociétés pharmaceutiques dans le monde, a dévoilé un projet afin de commencer à implanter des micro-puces dans des médicaments dans le but de créer une technologie de « pilule intelligente ».

La technologie de micro-puçage est brevetée par Proteus Biomedical à Redwood City, Californie. Une fois activée par l’acide de l’estomac, la micro-puce intégrée commence à détecter son environnement et à émettre des données à un récepteur utilisé par le patient. Ce récepteur est également un émetteur qui peut envoyer les données par Internet à un médecin.

L’idée derrière tout cela est de créer des « pilules intelligentes » qui peuvent détecter ce qu’il se passe dans le corps et délivrer cette information au médecin du patient. Novartis prévoit de commencer à micro-pucer ses médicaments anti rejet de transplantation d’organe et puis potentiellement étendre le micro-puçage à d’autres produits de sa gamme pharmaceutique. Cette même technologie pourrait également bientôt se retrouver dans des pilules fabriquées par d’autres sociétés pharmaceutiques.

Les meilleurs programmes mis en avant…

En surface, tout cela paraît bien, mais les lecteurs de NaturalNews (site original de l’article) ont certainement tout un tas de questions sceptiques à propos de cette technologie. Pour commencer, Novartis ne prévoit apparemment pas de réaliser des essais cliniques qui pourraient prendre en compte les problèmes de sécurité liés à l’ingestion de micro-puces. « Novartis ne s’attend pas à devoir conduire des essais cliniques approfondis afin de prouver que les nouveaux produits fonctionnent », rapporte Reuters. « A la place, son but est de réaliser de soi-disant tests de bio-équivalence afin de montrer que ce sont les mêmes que les originaux. » (http://www.reuters.com/article/idUSTRE6A754720101108)

Mais j’ai une question : quels produits chimiques ou quels métaux lourds sont-ils présents dans la micro-puce elle-même ? Une micro-puce qui transmet des données doit évidemment posséder une source d’énergie, ce qui signifie qu’elle doit avoir une très petite batterie ou un genre de condensateur. Les matériaux utilisés dans les condensateurs et les batteries, à ma connaissance, sont toxiques pour le corps humain et ne devraient jamais être avalés.

Les micro-puces ne sont pas de la nourriture et le fait de les avaler semble dangereux pour votre santé, particulièrement si vous ingérez plusieurs micro-puces par jour.

La confidentialité des données

Un autre problème important soulevé par les micro-puces qui transmettent des données concerne leur confidentialité. Si ces micro-puces émettent de l’information, alors cette information peut évidemment être collecté par tout ce qui se trouve à proximité, y compris éventuellement par des individus peu scrupuleux ou des organisations qui pourraient en faire une mauvaise utilisation.

Par exemple, supposons qu’une pharmacie locale installe un détecteur de signal de micro-puce dans leur porte d’entrée principale dans le but de suivre les gens qui émettent des données de « médication ». Ils pourraient alors théoriquement décoder cette donnée et l’utiliser afin de déterminer quelle maladie affecte le client, et puis vendre des produits pharmaceutiques génériques faisant office de substitution.

Des agents gouvernementaux pourraient être équipés de « scanners à micro-puce pharmaceutique » qui déterminent quelles pilules vous prenez en ce moment. Ceci pourrait être utilisé afin de violer votre vie privée en partageant cette information avec d’autres agences gouvernementales ou même en la vendant à un tiers, comme des sociétés de marketing.

Je doute clairement du fait que les données transmises par ces micro-puces dans ces pilules seront codées car le cryptage nécessite une véritable puissance de traitement, et dans ces toutes petites micro-puces, il n’y a pas vraiment de place pour une unité de traitement ou une source d’énergie. Très probablement, elles vont transmettre des signaux bruts, non traités, qui peuvent être détectés et décodés plutôt facilement.

Souvenez-vous de prendre vos médicaments

Mais la partie la plus effrayante à propos de ces micro-puces médicales est le fait que cette technologie sera utilisée afin de s’assurer que les gens prennent bien leur traitement. Les compagnies pharamaceutiques perdent des milliards de dollars par an (d’après elles) à cause des patients qui oublient de prendre leurs pilules. Bien entendu, l’une des raisons pour lesquelles ils oublient de prendre leurs pilules est qu’une grande partie des produits pharmaceutiques provoquent des dégâts aux fonctions cognitives, mais cela est ici hors-sujet.

Cette technologie de pilule micro-puce intelligente va donc probablement être utilisée pour traquer les pilules que les patients auront prises afin qu’il leur soit « gentiment rappelé » de prendre les éventuelles pilules qu’ils auraient oubliés de prendre. Dans le domaine du marketing, cela s’appelle un « programme de continuité ». C’est un moyen destiné à s’assurer que des ventes répétitives se produisent de façon régulière.

Dans ce contexte, le micro-puçage des pilules profite aux compagnies pharmaceutiques, mais pas nécessairement aux patients. C’est particulièrement vrai lorsque l’on considère ces produits pharmaceutiques qui sont nocifs pour la santé humaine – et nous savons tous que le marché pharmaceutique est rempli de pilules dont on a plus tard découvert qu’elles étaient extrêmement dangereuses voire mortelles (quelqu’un se rappelle-t-il du Vioxx ?).

Le futur : les scanners à médicaments de la police et les scanners à médicaments des employeurs

Maintenant, il y a peut-être un effet secondaire intéressant à propos de tout cela : les employeurs qui réalisent des entretiens pour des candidats à un travail potentiel pourraient être capable d’acheter (ou de fabriquer) un simple scanner à médicaments qui détecte la présence d’un signal de transmission d’une micro-puce pharmaceutique.

Ceci pourrait être très utile pour des employeurs qui ne souhaitent pas engager des personnes sous traitement. Ils vous invitent pour un entretien et scannent discrètement à la recherche de données de transmission médicales. Une lumière rouge les prévient lorsque vous émettez des données médicales, et ils vous disent calmement que l’entretien est terminé et « nous vous recontacterons ».

Les employeurs sont en ce moment dépassés par les coûts de l’assurance maladie. Cela pourrait fournir une méthode simple et facile pour les entreprises afin qu’elles évitent de recruter quelqu’un susceptible d’être un fardeau pour leurs programmes d’assurance maladie (d’après leurs opinions). Je ne suis pas nécessairement d’accord avec cette utilisation de cette technologie; Je dis juste que c’est une méthode qui sera probablement utilisée par les employeurs afin d’acarter les employés qui sont sous traitement.

Les policiers pourraient également utiliser un scanner similaire afin de déterminer si un conducteur sur une scène d’accident pourrait être affecté par des médicaments. Voilà une utilisation que je cautionne. Les routes d’aujourd’hui sont remplies de conducteurs affaiblis mentalement qui sont littéralement drogués aux médicaments. A propos, le problème est en fait bien plus grave que des conducteurs ivres, et pourtant jusqu’à présent rien n’est fait afin de combattre ce problème de « conducteurs sous médicaments » (la plupart des personnes ne savent même pas que ce problème existe).

Si les personnes qui prennent des médicaments émettent ces informations par l’intermédiaire de toutes les micro-puces qu’elles avalent, dans ce cas, analyser la présence de médicaments est simple. C’est même encore plus simple qu’un alcootest car cela ne nécessite aucune action de la part du sujet test. Le policier appuie simplement sur un bouton, patiente deux secondes, et peut alors déterminer si vous émettez des données médicales. Jusque là, vous pourriez être arrêté en étant suspecté de « conduite sous traitement ».

Une autre raison de ne pas prendre de médicaments

Il y a bien évidemment une tonne de questions sans réponses et même des risques potentiels quant à l’ingestion de produits pharmaceutiques à micro-puces. Pour certaines personnes, les problèmes de vie privée sont les plus importants de tous, car évidemment, qui souhaite émettre des données sur le fait qu’il prend des médicaments ?

Je ne prends pas de produits pharmaceutiques, évidemment, et la plupart des lecteurs de NaturalNews les évitent également. Le fait que les médicaments seront bientôt micro-pucés est encore une fois une bonne raison de trouver une façon plus holistique de prendre soin de notre santé. Ne misez pas votre vie (et votre vie privée) sur les pilules de l’industrie pharmaceutique. Optez pour un mode de vie holistique et sain basé sur des aliments biologiques, nutritifs, de l’exercice régulier et le refus de tous les produits chimiques (synthétiques) d’origine humaine, et vous n’aurez probablement jamais besoin de produits pharmaceutiques durant votre vie entière.

L’ère du micro-puçage des peuples et du micro-puçage des médicaments se trouve devant nous. Etant donné ce que fait l’agence nationale Américaine de sécurité dans les transports (TSA) avec les scanners corporels (http://www.naturalnews.com/030100_naked_body_scanners_airport.html), vous pouvez clairement imaginer ce que Big Brother fera avec vos données médicales que vous pourriez émettre depuis l’intérieur de votre corps.

En fait, l’idée même d’avoir une micro-puce qui émet des données depuis l’intérieur de votre corps pourrait vous faire signaler comme terroriste potentiel par la TSA, qui pourra alors procéder à une fouille des parties génitales et à une pression de la poitrine dans le cadre de leur nouvelle technique incertaine de « fouille approfondie »

(http://www.naturalnews.com/030302_TSA_naked_body_scanners.html).

La meilleure façon d’éviter tout cela est de simplement manger vos légumes et boire vos nutraceutiques (superfood). Ne devenez pas un sujet traçable et micro-pucé de l’industrie médicale qui souhaite transformer votre corps en un centre de profit par produits chimiques.

Texte original en anglais : http://www.naturalnews.com/030341_microchips_drugs.html

Titre original en français:L’industrie pharmaceutique va commencer à insérer des micro-puces dans des médicaments

Traduction : la-matrice pour Conspipedia, http://noxmail.us/Syl20Jonathan/?p=13218 

Pour aller plus loin :

Les "labos" veulent entrer au domicile des patients. C'est Kodak qui a inventé la micropuce à avaler http://micro.lemondeinformatique.fr/actualites/lire-kodak-invente-la-puce-rfid-a-avaler-433.html 

 Les laboratoires pharmaceutiques revendiquent le droit d'entrer au domicile des patients pour surveiller la prise de leurs "traitements" http://www.lemonde.fr/old-societe/article/2006/12/25/les-labos-veulent-entrer-au-domicile-des-patients_849190_3226.html#ens_id=824239   

et le nouveau projet de loi sur la psychiatrie en France prévoit un suivi contraignant des personnes qu'on aura décidé d placer sous médication, même en ambulatoire : http://www.jerpel.fr/spip.php?article306 

 

Source: http://www.mondialisation.ca

 

Url de cet article: http://www.internationalnews.fr/article-des-micro-puces-dans-les-medicaments--61610969.html

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23 novembre 2010 2 23 /11 /novembre /2010 03:10

By Mike Adams, the Health Ranger, NaturalNews Editor

Drug researchers are working on a mind-altering chemical that could erase your memories. It's all being pursued under the umbrella of "mental health" with claims that this could help victims of emotional trauma. The idea that you can "heal" a patient by chemically lobotomizing them is, of course, entirely consistent with the core mythology of modern medicine: If something's wrong, you should poison it, burn it, irradiate it or cut it out... and then pronounce the patient "healed!"

In the case of memory-erasing drugs, scientists are reportedly working on a drug that would remove certain proteins from the brain's "fear center." This is based on the ludicrous idea, by the way, that memories are recorded solely by physical proteins in the brain -- an idea that's obviously based on an entirely outmoded mechanistic model of the human mind and brain.

Then again, modern medical science seems to be hopelessly stuck in the Dark Ages, believing that there must be a chemical cure for everything. Hence the ongoing waste of billions of dollars searching for a cancer cure as if it were some sort of acquired infection.

"Erasing a memory and then everything bad built on that is an amazing idea, and I can see all sorts of potential," said Kate Farinholt, executive director of the mental health support and information group NAMI Maryland, in a Baltimore Sun story (http://www.baltimoresun.com/health/...). But even she can see this approach could be fraught with danger: "Completely deleting a memory, assuming it's one memory, is a little scary. How do you remove a memory without removing a whole part of someone's life, and is it best to do that, considering that people grow and learn from their experiences?"

Torturing mammals in the name of "science"

In order to pursue this work on a memory-erasing drug, researchers used electroshocks on mice (which are mammals, of course) to "train" them to fear an audible tone. They noticed this electroshock torture resulted in the build-up of proteins in the brain's fear center (amygdala), so now they've leaped to the wild conclusion that proteins = memories and therefore the way to treat fearful memories is to chemically remove the proteins.

This is such sloppy quack science that I can't believe it even got published by a scientific magazine. It's the same sloppy thinking that caused medical doctors to leap to the erroneous conclusion that cholesterol is bad for you. That's one medical myth that has made Big Pharma hundreds of billions of dollars in cholesterol-lowering drugs that harm far more people than they help. See this animation video to learn more: http://naturalnews.tv/v.asp?v=2D691...

Western scientists, ever stuck in the world of the physical, are easily misled into thinking that mental processes are solely based on proteins and chemicals rather than the far more profound neural network phenomena that really drive the functioning of the mind. Memories are not merely logged in the brain with proteins. If they were, our skulls would be as large as houses, filled with proteins from all the memories of our lives. In reality, memories are holographically recorded throughout the neural network of our brain which also interfaces with the non-physical human mind -- an entity of consciousness that extends beyond the physical realm (and which virtually the entire conventional scientific community has so far failed to acknowledge because they ridiculously believe that they, themselves, are biological automatons who lack consciousness).

More drugs for soldiers

Right now, U.S. soldiers are being drugged out of their minds with amphetamines and antidepressants. PTSD is the latest financial windfall for Big Pharma because more trauma means more profits from prescribing more drugs.

Just imagine how these "memory erasing drugs" might be used if they existed. First, they send you off to war, and if you somehow manage to survive that, they erase your memories when you come back home so you can't talk to the press about what really happened.

It's the perfect crime for a police state society: Destroy peoples' memories with the excuse of calling it "mental health treatment."


These drugs could be used on political prisoners, of course. Got someone speaking out against the government? Just arrest them, diagnose them with some mental disorder such as Oppositional Defiance Disorder, then force-feed them drugs that erase their memories.

A few months later, release them back into the world as mind-numbed zombies, where they are sure to go along with the rest of the crowd that's already lining up for vaccines, TSA pat-downs and mind-altering pharmaceuticals.

A memory-erasing drug is the ultimate Big Brother weapon because it could be used to destroy the personality of free-thinking individuals without blatantly killing them in the process.

No wonder pharma researchers are already working on this drug. It could be a powerful weapon in the corporate war on the people of our world -- a war that's already being waged against peoples' bodies and could soon extend to their very memories.

Sources for this story include:
http://www.baltimoresun.com/health/...

 

Source de cet article: http://www.naturalnews.com

 

Photo: 3.bp.blogspot.com

 

Url de cet article: http://www.internationalnews.fr/article-pharma-researchers-working-on-drug-to-erase-your-memories-61611406.html

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21 novembre 2010 7 21 /11 /novembre /2010 07:14

http://3.bp.blogspot.com/_wDdNiYA4zwY/TLctjhQHE8I/AAAAAAAAFf4/C-8jkBqkEig/s1600/biopharming2.jpg

 

La firme agroalimentaire tentaculaire criminelle Monsanto (de l'agent Orange aux OGM) vient d'acheter la société de mercenaires criminels Blackwater (aujourd'hui appelée Xe Services) !


 

 

La Pravda en anglais, Silvia Ribeiro, 14 octobre 2010


      Un article de Jeremy Scahill, Blackwater's Black Ops (Les opérations secrètes des Blackwater), paru dans The Nation le 15 septembre 2010, a révélé que la plus grande armée de mercenaires du monde, la compagnie de services clandestins d'intelligence Blackwater (aujourd'hui appelée Xe Services) a été vendue à la multinationale Monsanto. Blackwater a été rebaptisée en 2009, après que de nombreux rapports de débordements, dont des massacres de civils, en Irak l'aient rendue célèbre dans le monde. Elle reste le plus grand prestataire privé de « services de sécurité » du ministère des Affaires étrangères zunien à pratiquer le terrorisme d'État, offrant ainsi au gouvernement la possibilité de nier sa pratique.


http://www.antifascistencyclopedia.com/wp-content/uploads/2010/02/BLACKWATER-IN-PAKISTAN.jpg

 

      De nombreux militaires et anciens officiers de la CIA travaillent pour Blackwater ou des entreprises assimilées ou créées pour détourner l'attention de leur mauvaise réputation et rendre plus lucrative la vente à d'autres gouvernements, banques et compagnies multinationales de leurs infâmes services, allant de l'information et du renseignement à l'infiltration, en passant par le lobbying politique et la formation paramilitaire. Selon Scahill, les affaires avec les multinationales comme Monsanto et Chevron, et des géants de la Finance tels que Barclays et Deutsche Bank, sont conduites par deux sociétés appartenant à Erik Prince, le propriétaire de Blackwater : Total Intelligence Solutions et Terrorism Research Center. Leurs fonctionnaires et administrateurs ont en commun Blackwater.


      L'un d'eux, Cofer Black, l'un des directeurs de la CIA connu pour sa brutalité, est celui qui, en tant que directeur de Total Intelligence, a pris contact avec Monsanto en 2008 pour conclure un contrat avec la compagnie pour espionner et infiltrer les organisations de militants des droits des animaux et des anti-OGM, et accomplir les autres sales boulots du géant de la biotechnologie.


      Contacté par Scahill, Kevin Wilson, un cadre de Monsanto, a refusé de commenter, mais a confirmé plus tard à The Nation qu'ils avaient engagé Total Intelligence en 2008 et 2009, seulement, selon lui, pour garder une trace des « révélations » de leurs opposants. Il a aussi indiqué que Total Intelligence est une « entité totalement distincte de Blackwater. »


      Pourtant, Scahill possède des copies de courriels de Cofer Black après sa rencontre avec Wilson pour Monsanto, où il explique à d'autres anciens agents de la CIA, en utilisant leurs adresses de courriels chez Blackwater, que la discussion avec Wilson était que Total Intelligence est devenu « l'organe de renseignement de Monsanto, » pour l'espionnage des militants et d'autres actions, incluant « l'intégration légale de nos gens dans ces groupes. » Monsanto a payé Total Intelligence 127.000 dollars en 2008 et 105.000 dollars en 2009.


      Il n'étonnera guère qu'une compagnie engagée dans la « science de la mort » comme Monsanto, dédiée dès l'origine à créer des poisons toxiques à répandre, de l'Agent Orange aux BPC (biphényles polychlorés), des pesticides, des hormones et des semences génétiquement modifiées, est associée à une autre compagnie de voyous.


      Quasi simultanément à la publication de cet article dans The Nation, Via Campesina a signalé l'achat de 500.000 actions de Monsanto, pour plus de 23 millions de dollars, par la Fondation Bill et Melinda Gates, qui, avec cette action, a complètement jeté le masque de la « philanthropie. » Encore une association qui ne surprendra guère.


      Il s'agit d'un mariage entre deux monopoles des plus cyniques de l'histoire de l'industrialisme : Bill Gates contrôle plus de 90 pour cent de part du marché de l'informatique propriétaire et Monsanto environ 90 pour cent du marché mondial des semences transgéniques et la majorité des semences commerciales du monde. Il n'existe aucun autre monopole aussi vaste de secteurs industriels. Leur l'existence même est une négation du fameux principe du capitalisme de « concurrence de marché. » Gates et Monsanto sont tous deux très agressifs dans la défense de leurs monopoles mal acquis.


      Bien que Bill Gates puisse être tenté de dire que sa Fondation n'a aucun rapport avec son entreprise, tout prouve le contraire : la plupart de ses dons finissent par favoriser les investissements commerciaux du magnat. Quoi que ce soit, ce ne sont pas vraiment des « dons, » puisque au lieu de payer des impôts à l'État, la Fondation investit ses bénéfices là où c'est favorable économiquement, y compris dans la propagande sur ses bonnes intentions présumées. Ses « dons » financent au contraire des projets aussi destructeurs que la géo-ingénierie ou le remplacement des médicaments de la communauté naturelle par des médicaments brevetés de haute technologie dans les régions les plus pauvres du monde. Quelle coïncidence ! L'ancien ministre [mexicain] à la Santé Julio Frenk et [l'ancien président du Mexique] Ernesto Zedillo sont des conseillers de la Fondation.


      Comme Monsanto, Gates est aussi engagé dans une tentative de destruction de l'agriculture rurale dans le monde, principalement à travers l'« Alliance pour une révolution verte en Afrique » (AGRA). Il fait office de cheval de Troie dans le but de déposséder les agriculteurs pauvres africains de leurs semences traditionnelles, afin de les remplacer d'abord par des semences de leurs compagnies, et ensuite par des semences génétiquement modifiées. À cette fin, en 2006 la Fondation a embauché Robert Horsch, le directeur de Monsanto. Gates expose maintenant des bénéfices importants, directement revenus à leur source.


      Blackwater, Monsanto et Gates sont les trois faces d'un même calcul, la machine de guerre contre la planète et la plupart des gens qui l'habitent : les paysans, les communautés autochtones, les gens qui veulent partager les informations et les connaissances ou tous ceux qui ne veulent pas être sous l'égide du profit et du pouvoir destructeur du capitalisme.



      L'auteur, Silvia Ribeiro, est chercheuse à l'ETC Group. Cet article, paru à l'origine dans le journal mexicain La Jornado, a été traduit de l'espagnol pour La Pravda en anglais par Lisa Karpova.
Source :
english.pravda.ru/business/companies/14-10-2010/115363-machines_of_war_blackwater_monsanto_billgates-0/


Traduction copyleft de Pétrus Lombard 14 octobre 2010

 

Source http://www.lepost.fr

Image: tickergrail.blogspot.com, antifascistencyclopedia.com

 

Uel de cet article: http://www.internationalnews.fr/article-blackwater-monsanto-et-bill-gates-les-machines-de-guerre--61473859.html

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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5 novembre 2010 5 05 /11 /novembre /2010 05:25

http://www.iscanmyfood.com/wp-content/uploads/Alex-Jones-Channel.jpg 

 

GR TV

 

Alex Jones addresses one of the darkest modes of power the globalists have used to control the population-- food. The adulteration of the planet's staple crops, genetically-altered species and intentionally-altered water, food and air all amount to a Eugenics operation to weaken the masses and achieve full spectrum domination.

 

People the world over, but especially in the United States are under chemical attack. Deadly and dangerous toxins ranging from Aspartame to Fluoride, GMO, Mercury-tainting, pesticides, cross-species chimeras, plastic compounds in chicken, high fructose corn syrup, cloned meat, rBGH and new aggressive GM species of salmon have all entered into our diets and environments-- whether we want it or not.

 

Many of these substances knowingly cause or are linked with sterility, low birth weight, miscarriages, smaller or deformed offspring, as well as organ failure, cancer, brain tumors and Death itself, what you DON'T know about on your grocery shelves can hurt you. Further, Alex demonstrates that a pattern of buried studies, fraudulent statistics and a will reduce global population all point to the deliberate criminal poisoning of the food and water supply.(source: http://tv.globalresearch.ca)

 

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Alex Jones/Dr. Rima E. Laibow on Codex alimentarius (VOSTF)

The Obama Deception d'Alex Jones en français (VOSTF)

ENDGAME (VOSTF) - Le classique d'Alex Jones en Français

Fall of the Republic (The new Film by Alex Jones) HQ full length version

 

The views expressed in this video are the sole responsibility of the author and do not necessarily reflect those of IN.

 

http://www.internationalnews.fr/article-food-the-ultimate-secret-exposed-by-alex-jones-video--60999322.html
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26 octobre 2010 2 26 /10 /octobre /2010 06:26

 

http://carcassonne.gauchepopulaire.fr/public/carcassonne.gauchepopulaire.fr/Privatisation.bmp


Réalisateur : Florian Opitz

 Enquête aux quatre coins du monde sur les conséquences de la privatisation des services publics et leurs effets concrets dans la vie des individus.

 

 

Bongani et son équipe d'électriciens «guerilleros» sillonnent les rues de Soweto pour raccorder au réseau ceux qui sont privés d'électricité parce qu'ils ne peuvent plus payer leur facture. Simon, conducteur de locomotive, parle des accidents mortels qui se sont multipliés depuis la privatisation des chemins de fer à l'époque de Margaret Thatcher. Minda, qui vit dans un bidonville aux Philippines, doit se débrouiller chaque semaine pour trouver l'argent nécessaire à la dialyse de son fils, car le système de santé privatisé n'assure plus les pauvres du pays. A Cochabamba, en Bolivie, les habitants se mobilisent contre une multinationale américaine qui a pris le contrôle de la distribution d'eau dans la ville. Le documentaire donne aussi la parole aux tenants de la privatisation, représentants de la Banque mondiale et du FMI ou chefs d'entreprises privatisées.

 

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http://www.internationalnews.fr/article-les-ravages-des-privatisations-documentaire-1h-30-59666508.html

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